Chapitre 110 Délivrance

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Point de vue de Colin

Je me gare sur le trottoir casiment dans l'entrée de la clinique. J'hésite un quart de secondes à aller chercher du secours, mais quand ma femme hurle sous les contractions, alors qu'elle en avait déjà moins d'une minute avant, je préfère la porter à l'intérieur quitte à ce que les bras m'en tombent.

Je saute sur le capot pour gagner du temps et m'énerve contre la porte qui ne s'ouvre pas assez vite. Je suis as deux doigts d'arracher la poignée galvanisé par la panique, alors que mon chaton a le visage crisper par la douleur.

Je fini par m'en sortir, et je suis entrain de la détacher quand un médecin arrive derrière moi.

Le médecin : Enfin vous ne pouvez pas vous garer comme ça, ici ! C'est une clinique privée !

Je ne relève même pas ! pas le temps.

Moi: Ma femme est entrain d'accoucher !
Le médecin : L'hôpital le plus proche est West fields! Il n'y as pas de service d'urgence ici... Nous sommes un service uniquement orthopédique ! Ici la chambre est à 10 000 euros la nuit !

OK ! J'ai atteint mes limites.

Je chope le gars par la blouse, et je le balance contre la voiture. Je met mes mains autour de son cou et le secoue comme un prunier.

Moi: Je viens de perdre mes meilleurs potes dans une explosion, ma femme est entrain d'accoucher, il y a du sang partout, et toi tu refuses de t'occuper d'elle parceque t'as peur que je salisse t'as boutique ?

Le types d'une vingtaine d'année me griffe pour se libérer, mais je suis trop plein de colère et de peur pour me calmer. Je le déteste, lui, sa mèche de cheveux plaquer, sa clinique pourri... Je suis entrain de devenir fou !

??? : Mais qu'est ce qu'il se passe ici, nom d'une pipe en bois?

Un autre type en blouse blanche se ramène, il as les cheveux grisonnant, et il est un peu bedonnant.

??? : Mais lâchez le ! Vous allez l'étouffer ce pauvre garçon !
Moi: Il refuse de soigner ma femme !

Il se rapproche de nous en trottinant alors que des infirmières pointent le bout de leur nez dans le hall. Aucune n'ose se dépasser les portes vitrées automatiques.

??? : Qu'as donc votre épouse pour... Bordel de merde !

Il as dépassé la portiere de la voiture et regarde l'état de Freiya, une main sur la bouche. Il se tourne alors vers ses infirmières

??? : Ramenez un brancard et appelez moi une ambulance vite !

Je vois le groupe de femmes s'éclater comme une volé de moineau pour obéir aux ordres de leur patrons. Je le regarde faire sans pouvoir détacher les yeux de ma femme qui se remet à hurler.

??? : Venez m'aider vous...

Il se tourne vers moi, et mais ses mains sur ses hanches, agacé.

??? :Mais Lâchez donc mon assistant, voyons ! J'en ai besoin !

J'avais oublié que je le tenais. Je le relâche, et il s'écroule au sol, toussant comme un damnés pour trouver de l'air.

Moi: Pardon...

Je m'agenouille à côté du vieux, aux chevet de Freiya.

??? : Je suis le docteur Malone.

Je cligne des yeux, en le regardant ausculter ma femme.

Moi: Colin Spencer, et ma femme Freiya...
Malone: Monsieur Spencer, je tient à vous spécifier que nous n'avons pas le matériel pour ce type de chose... Mais je ferai de mon mieux en attendant les secours...

it is love colin and co (terminé) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant