it is love colin and co (terminé)

Chapitre 24 Trahison

Gabriel est parti en déplacement et cela pour toute la semaine. C'est un grand soulagement, j'espère que les esprits échauffé auront le temps de ce calmer avant son retour.

Nous sommes lundi matin, les derniers jours sont passés à une vitesse vertigineuse. Nous avons répéter jusque très tard jeudi et vendredi, j'en suis ressorti épuisé. Je n'avais jamais ressenti la fatigue avant, mais j ai l'impression de traîner mon corps, quand la douleur ne me dechire pas les entrailles. Je hausse les épaules en me disant que cela finira bien par passé.

En tout cas les répétitions ont été magiques, le son du piano de Doris apporte vraiment un truc en plus à nos morceaux. Je souris en me disant que nous sommes tous indispensables au bon fonctionnement du groupe.

On ne peu pas dire que Doris est devenu ma meilleure amie, mais notre entente reste cordiales. Il ne me reste qu un point noire à regler: comment annoncer à mon frère que j'ai un petit ami et que je vais partir faire une tournée rock avec lui jusqu'à Miami.

Il va croire que je suis devenue totalement dingue.

En pensant aux concerts qui nous attendent mon esprit dérive vers Colin. Nous nous sommes revus en privé samedi. Je lui ai proposé un petit pique nique à central Park. Je ne pensait pas que ça l'emballerai, mais j avait besoin de le voir et je voulais un peu sortir du cadre de la musique. En faite il a été ravi, j'avais préparé un bento japonais qu'il a littéralement englouti.

La balade a son bras dans le parc était aussi très agréable : nous avons parlez de tout et de rien pendant des heures.

Colin est quelqu'un de très réservée,s il ne parle pas ce n'est pas parce qu'il n'a rien à dire, mais parce qu'il s attend toujours à ce faire attaquer. Pour une fois, il a énormément parler, il a même fini avec une voix éraillée.

J'étais à deux doigts de prendre mon courage à deux mains pour lui parler de mon manque d'expérience dans les relations, quand son portable s'est mis a sonner. Il est parti au boulot pour une urgence. Travailler un week-end... Je suppose qu'il n y a, ni jour, ni nuit ni jour férié pour les hacker.

En tout cas depuis ce moment là, je n'ai plus aucune nouvelle ! C'est le silence radio. Après autant de complicité, ne même pas recevoir un SMS m'as un peu troubler. Surtout que je n'ai plus ma petite blonde pour me rassurer et me conseiller vue qu'elle est entrain de se faire dorer la pillule sur une plage.

J'ai demandé à Matt s'il en savait plus, mais il m as simplement dit que son pote avait de gros soucis de communication.

Vers Neuf heures et demie je reçois enfin un SMS.

Matt: as tu vois ? Te fais pas de bile princesse, t'aime juste un homme des cavernes !

Je souris, mais j'ai un mauvais pressentiment en relisant le sms.

" vient dans mon bureau maintenant"

Je monte directement au 52 ème. Je ne prends pas le temps de lui chercher un café, je pourrais toujours lui en prendre un, si tout va bien.

Je frappe à sa porte, qui s'ouvre à la voler. Il m attrape par le bras et me propulse dans son bureau sans ménagement, je ne dois qu à ma souplesse de ne pas m étaler de tout mon long sur le sol.

Il est debout face à moi, et je ne lui ai jamais vue cette expression de pure rage. Ses yeux me cloue sur place.

Colin : comment tu as pu faire ça, Freiya !

Aie, plus de chaton. Son regard me détruit, je deglutit avec peine.

Moi: de quoi tu parles ?

Il leve les bras en l'air, la colère le rend encore plus impressionnant que d habitude. Je me ratatine sur moi même. Mon cerveau me supplie de fuir, mais je ne veux pas abandonné.

Colin: tu te fous de moi en plus ?
Moi: bien sur que non! Colin, nom de dieux ! Parle moi !
Colin: tu veux que je te parle ? OK, je vais parler ! Ryan m'a convoquer dans son bureau samedi pour me dire que des informations sur notre piratage de star export on filtrer... Non seulement tout notre dossier tombe à l'eau mais en plus carter Corp risque gros ! J'ai passé tout le week-end à essayer de limiter les dégâts !

Mon estomac tombe d'un étage.

Moi: tu vas avoir des ennuis ?

Il ricane d'un air méchant en se rapprochant de moi. Je recule jusqu'à buter sur son bureau.

Colin : fallait y penser avant de me balancer !

Je blanchis d'un coup :

Moi: tu crois que c'est moi...
Ma voix se brise.

Colin: il n y avait que moi, ryan et toi qui sommes au courant, deux d'entre nous sont au dessus de tout soupçon, il ne reste que toi !
Moi: tu te trompe Colin... Je n'aurais jamais fait une choses pareil ! Pour quel raison j'aurais fait ça ?
Colin: parceque comme toute mes putains de groupie tu n'as pas put t empêcher de montrer que tu savais des trucs sur moi...

Je prends ça comme une claque en pleine figure. Je me sens mal... Mais il faut que je le raisonne. Je tend la main vers lui.

Moi: fait moi confiance, je n'aurais jamais fait ça !

Il rompt la distance qui nous sépare et m attrape la gorge avec sa main droite. Ses doigts me serrent tellement que je peine à respirer, je sent le sang s'écouler des égratignures qu il me laisse dans la peau. Il se penche vers mon oreilles.

Colin: je fais pas confiance au salope dans ton genre ! T es qu une putain de bête ! Un chacal pour m'avoir planter ce couteau dans le dos... Je t ai raconté.. Je t'ai...

Je suffoque, est ce qu'il s en rend compte ou est ce qu'il en as juste assez ? en tout cas sa main relâche ma gorge. Je m affaisse sur le sol, les larmes aux yeux, crachotant pour essayer de reprendre mon souffle.

Je peine à respirer, je le regarde me surplomber , je sent sa haine... Mon cœur éclate car ses yeux bleu ne sont plus que folie furieuse.

Sa main aggripe mon épaule et me relève en me faisant presque décoller du sol. Il me traîne jusqu'à sa porte et me jette dehors, je m écrase contre le mur d en face.

Colin: tire toi ! Ne reviens plus ici c'est interdit aux animaux nuisibles !

Il claque la porte derrière lui. Je me relève tant bien que mal. Je ne comprends pas ce qu'il vient de se passer... Mon cerveau n arrive pas à imprimer la situation. Une main sur le mur pour me soutenir, je clopine jusqu'à l ascenseur. Une fois à l'intérieur, je m ecroule contre la paroi. Je sent les larmes inondé mes joues.

Je suis anéanti, j'ai vue la lumière, j'ai cru que je pourrais vivre à ses côtés... J'ai tout perdu... En une fraction de seconde j'ai tout perdu...