Je suis entrain de courir dans central Park. On es samedi, il fait extrêmement lourds et nuageux : le temps est à l'orage. Par un temps comme celui ci le parc est agréablement vide, il ne reste que quelques rares joggeurs prêt à ce prendre une averse.
C'est mon exutoire fétiche: la course à pied me vide la tête. J'essaie de faire redescendre mon stress, car dans quelques heures je monterait sur scène avec Adam et Colin.
Quand j'y pense la semaine a filer à une allure effrayante. La bonne nouvelle c'est que nous avons enfin boucler le dossier du Congo. Tout les contrats on été signé, mais ça nous as demandé un boulot monstrueux. Il a fallu jongler entre les heures sup. et les répètes. Heureusement je ne dort casiment pas, sinon je ne sais pas comment j'aurais tenu. Probablement comme Adam, une sorte d épave humaine. Le pauvre c'est endormi sur sa batterie plus d'une fois. Du coup hier Colin a annulé la répète pour le laisser se reposer.
Les journalistes ont trouvé de nouvel proie et on enfin arrêté de tourner autour de carter Corp. Curieusement, cette situation a déboucher sur quelques chose d inattendu.
Je me rappelle encore ma tête et celle de Matt quand Jenny a débarquer comme une fleur devant mon bureau. Je ne m'attendais pas à la revoir un jours, et la revoilà toute guillerette dans un tailleur rouge pastel.
Jenny: Freiya, on mange ensemble ce midi ?
Moi: j'avais prévu de manger avec une autre collègue...
Jenny: on peu y aller ensemble !Elle m'avait sorti sa tête de chien battu, et j'ai donc fini par accepter. Quant à ce grand dadet de Matt, il m'avait attraper par la manche avant que je ne sorte.
Matt: je viens avec vous... Princesse rend moi ce service s'il te plaît ! On aurait dit un enfant de cinq ans au bord du caprice.
Moi: d'accord mais ferme la bouche quand tu regardes Jenny, parce que tu baves!Mon collègue avait totalement flasher sur la sœur du big boss, mais je ne suis pas sur que ça ai été réciproque.
Le repas c'était bien passé, le courant passait bien entre Lisa, moi et elle. J'avais peur qu'elle soit un peu déconnecter de nous, vue qu'on ne vivait pas dans la même classe sociale, mais elle s'est montré amicale et joyeuse. À priori c'est une fan inconditionnel de nourriture, elle envisage même de monter son propre restau.
Au final, elle est revenue tout les jours de la semaine. Lisa l'a même invité pour notre shopping d'avant concert. Je sais maintenant ce que ressent une poupée barbie entre les mains de deux petites filles enthousiaste. J'ai du essayer la moitié des fringues de New York.
Je n'ai pas à me plaindre, la tenu final me plaît beaucoup, comme dirait Lisa, je vais faire des ravages.
Dans tout ça, Je n'ai réussi à récupérer ma moto que ce matin. J'ai passé les 2 tiers de la journée à rouler sans but, pour le plaisir. Je me suis arrêté quand j'ai senti des fourmis dans mes jambes.
Je suis passé chez Lisa, j'ai mis un short et une brassière assorti bleue, des mitaines en resilles qui me remonte jusqu'au coude pour cacher mes cicatrices, et un pansements dans mon cou pour cacher le tatouage. J'ai attacher mes cheveux en une queue de cheval haute et je suis parti courir.
Je me sent bien, mes pas mon mener naturellement ici. J'ai encore un peu de temps devant moi avant de rentrer me préparer.
??? : bah ça alors ! Furie !
Je me retourne, il n'y a qu une seule personne qui m'ai jamais appelé comme ça. Il est paisiblement installé sur un banc, avec son éternel chemise entrouverte, son pantalon de lin blanc et ses mocassins en cuir.
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it is love colin and co (terminé)
FanficJe m'appelle Freiya, le nom de famille ? Inutile je me balade sous une fausse identité. Je suis arrivé il y a 6 mois à New York, pour suivre Cody:Mon frère a qui je dois la vie,mais tout juste sortie de prison . Faut que j'arrive à lui faire arrêter...