Alya et Peggy Carter étaient l'unes des agents les plus proéminente de la Section Scientifique de Réserve. Elles étaient l'anciennes cryptanalystes et ont rejoints les Forces Spéciales à la suite de la mort de leurs frères.
Lors d'une mission sous...
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❝ 𝐘𝐨𝐮 𝐚𝐫𝐞 𝐚𝐥𝐥 𝐭𝐡𝐞 𝐬𝐚𝐦𝐞... ❞
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La soirée d'hier soir s'est très bien passée, pour la première fois de ma vie, j'étais contente de venir à une fête. Surtout la danse entre Steve et moi. Je m'en souviens encore de ses yeux sur moi, son souffle chaud, sa main douce. Rien d'y penser ça me donne des frissons. Est-ce que ma sœur dit vrai ? Suis-je en train de tomber amoureuse de lui ? Je n'en sais rien, mais... je pense que oui. Steve est quelqu'un de complètement différent pour moi. Chaque fois qu'il est près de moi, je ressens des choses dont je n'ai jamais ressenti. La question que je me pose est : est-ce que lui ressent-il la même chose ? J'aimerais lui en parler, savoir s'il y a quelque chose entre nous au-delà de l'amitié.
-Il occupe toutes tes pensées, on dirait, s'amuse ma sœur.
La voix de Peggy me fait sortir de mes pensées et je secoue la tête. Je fais comme si de rien était et continue ce que je suis en train de faire.
-Seriez-vous amoureuse, mademoiselle Carter ? En rajoute le blond.
-Fermez-là tous les deux, grognée-je.
Ils rigolèrent, tandis que je lève mes yeux aux ciels.
-Ça va, tu peux arrêter de nous le cacher, sœurette. On a tous vu votre danse hier soir.
-Ce n'était rien qu'une danse.
-Mais oui, rien qu'une danse... Dit-il en haussant un sourcil.
-Non mais est-ce que je vous en pose des questions, moi ? M'exclamée-je.
-On te charrie, Aly. C'est juste que... je suis contente de te voir heureuse, c'est tout.
Je relève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.
-Alya, est-ce que vous auriez vu Rogers ? Me demande Stark en arrivant.
-Euh... non pas encore, pourquoi ?
-J'aimerais qu'il teste le bouclier que je lui ai fait.
-Vous lui aviez fait un bouclier ? Dis-je, surprise.
-Doutez-vous encore de mes capacités, Carter ?
-Non, je pense que j'en ai vu assez comme ça, soupirée-je.
-Je suppose que vous parlez de mon exposition ? Sourit-il, fier de lui.
-Ouais, dis-je lasé.
-Je suis contente que ça vous ait plu, dans ce cas.
