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T'es mignonne, je suis désolé j'aurais dû te protéger..
BTS -  Danger.
••••••
Rhododendron :  Cette fleur représente le danger.

Je suis maintenant dans ma maison, le regard froid de ma mère me scrute sans aucune retenue, tandis que mon père lui reste concentré sur l'écran de la télévision éteinte.

Je suis actuellement debout devant la porte d'entrer, la peur au ventre, l'angoisse d'avoir mal, mes jambes tremblotantes et mes membres se raidissent instantanément.

J'appréhende la suite...

-Où étais-Tu ? Demande ma génitrice d'une voix tranchante.

-J'étais au lycée, je ne savais pas que je n'avais pas cours cette après-midi je vous le promets ! Dis-je d'une voix remplie de stresse.

-Alors comment l'as tu sus ? Me dit-elle avec un sourire en coin.

-Quand je suis allée à mon casier je me suis aperçue du mot de mon directeur, je ne vous mens pas. Mon ton ce fait plus bas.

- Nous t'avons dit de rentré directement après les cours et tu ne l'a pas fait Lie ! Il est 14h tes cours recommence à 13h30 il me semble, tu devrais êtres rentrée plus tôt ! Alors ne me prend pas pour une idiote ! Ou étais tu ? Dit elle en s'avançant près de moi.

-J'étais au lycée, avec quelque camarade de ma classe, je n'ai pas vue le temps passé.. Dis-je en baissant la tête.

Mais subitement une énorme masse vient s'abattre sur ma joue sans que je ne puisse m'en rendre compte, ma mère venait de me giflée d'une violence encore méconnue.

-Nous t'avons dit que nous voulions pas que tu traînes n'importe où avec n'importe qui, Lie ! Ces gamins sont des branleurs. Dit ma mère en ce rapprochant encore de moi.

-Chérie, pas le visage ! Dit mon géniteur sans m'adresser un seul regard.

Je relève la tête et je m'efforce de vouloir me taire, mais mes mots sont définitivement plus rapide. Je sais que je vais regretté mes paroles..

- Je vous déteste... dis-je le plus bas possible, mais visiblement pas suffisamment car mon père ce retourne vivement et ce lève en furie du canapé ou il était assis et vient me prendre par les cheveux violemment, je ne comprend pas ce qu'il se passe, tout vas beaucoup trop vite mais je comprend immédiatement ce que je vais vivre.

Je sais que j'aurais dû me taire, que j'allais en subir les conséquences, mais je n'en peux plus, avez vous déjà ressenti ce besoin de dire des mot ou vous savez pertinemment que vous allez le regretter ? Moi oui et je sais que je n'aurais pas dut ..

Il descend les escaliers à vive allure toujours en me tenant par les cheveux, il ouvre la porte de ma chambre, puis la referme en un coup de pied. Il me relève par le bras tout en me regardant dans les yeux.

-Tu auras une bonne raison de nous détester comme ça ! Pauvre conne ! Dit-il avec dangerosité dans la voix.

Et c'est à cette instant que mon calvaire commence, il me plaque contre le mur, et me donne un coup violent à l'arrière de la tête, ma vue ce trouble légèrement et mes yeux ce ferme instantanément.

-Oh que non ce n'est pas le moment de dormir !

Il me donne un violent coup dans le ventre me coupant la respiration et ma vue ce brouille à nouveau mais de larmes.
Je m'étais promis de ne pas pleurer mais là c'est tous bonnement impossible, je n'arrive pas à garder ma douleur intérieur.

Les coups s'enchaînent, des coups de pieds dans mon ventres, dans le dos, dans les jambes, mes bras ce retrouve tordus s'en que je m'en rendent compte, puis ce que je pensais êtres le pire ne l'était absolument pas, il m'attrape par les joues, et me jette au sol pour ce placer à califourchon sur moi. Mes yeux brillent de peur, mais notamment de mes larmes qui ont redoublés.

-Tu es une petit prostituée j'en suis sûr que tu t'es déjà faîte baisé, alors je ne serais pas le premier ! Dit-il en fessant un sourire malsain.

C'est alors qui commence à me saisir les poignets et à vouloir retrousser mon tee-shirts pour y aventurer ces mains sale sur mon corps meurtrie par les coups.

C'est la premier fois qu'il veut me toucher de la sorte mais heureusement pour moi ma mère fait éruption dans la chambre.

-Chéri ! La mairie a appelé et il veulent te voir d'urgence ! Dit elle sans une once de joie dans la voix.

-D'accord ! J'arrive tous de suite ! Dis celui qui est toujours sur mes hanche me brisant les os au passage.

Il ce lève de sûr moi et je me redresse sur mes coudes pour pouvoir vite me réfugier autre pars.

- Décidément c'est ton jours de chance ! 

Et juste avant qu'il ne parte définitivement de ma chambre il me donne un violent coup à la tête, mais je n'ai malheureusement pas assez de force pour tenir bon en cette début d'après-midi. Je m'effondre au sol, et m'évanoui immédiatement.

À suivre ..

———
J'espère que sa vous a plus !

Désolé pour les fautes.

EuphoriaTokki ••

Si vous avez dès questions n'hésitez pas ! 😌

Afraid 📕Où les histoires vivent. Découvrez maintenant