LES SANGLOTS LONGS DES VIOLONS DE L'AUTOMNE
BLESSENT MON CŒUR D'UNE LANGUEUR MONOTONE
Que vous évoquent ces vers ? Un indice, il y a un bébé lien avec l'objet de cette partie de chapitre !
ça me rappelle qu'avant sur Booknode j'annonçais toujours mes chapitres d'une citation, peut-être que je renouerais avec la tradition, j'aimais assez trouver des citations pour mes chapitres ahah !
BON plus sérieusement, demain je suis dans le bus pour aller dans mon endroit préféré de ma vie et de mon coeur (très français tout ça) où je n'ai pas d'électricité (mais un gentil voisin qui accepte de recharger mon ordinateur, keur sur ces personnes). Donc je préfère poster maintenant !
Toujours est-il que j'espère que tout ce passe bien pour vous, que vous profitez de vos vacances, que vous PORTEZ VOTRE MASQUE et que vous respectez les gestes barrières et tout ! C'est hyper important parce que je sais pas vous, mais j'ai pas très envie de me reconfiner donc RESTEZ VIGILENT et prenez soin de vous et de vos proches !
Bon aller c'est parti pour ENLEVER L'ITALIQUE (troisième chapitre que ça me fait ça, qu'est-ce qui se passe Wattpad?) et bonne lecture à tous ! Je vous retrouve à la fin pour la suite !
Et merci à ma petite Anna' pour sa relecture !
Chapitre 29 : Le retour du phénix - 2.
McGonagall avait été transférée à Ste Mangouste, m'avait appris Madame Pomfresh tout en vérifiant la cicatrice dans mon dos, à présent presque réduite à une tâche plus foncée sur ma peau. Elle paraissait bouleversée par l'attaque de la directrice-adjointe et m'avait assuré qu'elle aurait démissionné s'il n'y avait pas eu à prendre soin des élèves. Mais malgré les événements, la vie reprit son cours inéluctable et notamment celle des épreuves d'ASPIC : l'épreuve d'étude des runes le lendemain matin fut un véritable calvaire pour moi. J'avais très mal et trop peu dormi et les runes dansaient devant mes yeux, m'empêchant de me concentrer correctement. Je pensais avoir rendu une traduction correcte mais loin de mes standards habituels et je m'obligeai le midi à faire une sieste avant mon oral d'Histoire de la Magie. J'avais craint cette épreuve mais elle ne se déroula pas trop mal : le sujet me tenait tant à cœur que j'étais extrêmement à l'aise devant une Griselda Marchebank très intéressée par notre propos. L'entretien fut plus une discussion et un débat qui me passionna tout autant et l'examinatrice nous proposa de revenir la voir si jamais nous décidions d'approfondir notre thèse. Elle avait également promis à Octavia de parler de son remarquable travail au Département de Coopération Magique Internationale et la Serdaigle était sortie de la pièce radieuse. Nous avions enfin pu aller fêter la fin des épreuves avec nos camarades et malgré les évènements dramatiques qui avaient eu lieu la veille, une fête en bonne et due forme s'était organisée dans la Salle Commune de Poufsouffle. Simon avait ressorti sa guitare, je l'avais accompagné au chant et de nombreux Do you hear the people sing avaient retentis. Je bus beaucoup trop de biéraubeurre, évitai Emily qui voulait absolument que je parle de Miles et profitai pleinement de ce premier moment de quiétude et d'oubli depuis une éternité. Ce qui expliquait mon impression d'avoir un lutin de Cornouaille dans la tête lorsque quelqu'un vint me secouer lendemain matin. J'ouvris un œil mais le refermai aussitôt tant la brûlure me semblait insupportable. Un étau m'enserrait douloureusement les tempes. Mais quelqu'un continua de me secouer l'épaule.
-Vicky, s'il te plait réveille-toi ... Victoria ...
Je ne répondis que par un vague gémissement en ramenant les couvertures sous mon menton. Le lutin continuait de danser dans mon esprit et embrouillait tout. La main se crispa sur mon bras.
VOUS LISEZ
Ombres et Poussières [I-II]
FanfictionEté 1994. La Marque des Ténèbres apparaît pour la première fois depuis quinze ans dans le ciel, secouant le monde sorcier. Septembre 1994. Victoria, née-moldue, a eu toutes les peines du monde à se faire à son statut de sorcière, entre la réticence...