II - Chapitre 23 - 1 : "La vie, c'est comme une boite de chocolat..."

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MAIS QU'EST-CE?!

La preuve de ma faiblesse.

MAIS ce n'est qu'une demi faiblesse. Ce chapitre est long (environ 20 pages) DONC je le coupe en deux comme ça vous en avez une partie cette semaine et une partie la semaine prochaine ! Et après on reprend toutes les deux semaines, ça vous va?

MAIS AVANT TOUTE CHOSE, MOMENT PUUUUUB

ATTENTION WATTPAD LADIES AND GENTLEMAN événement aujourd'hui : mon amie @PtiteCitrouille a, après quelques semaines d'harcèlement de notre part, posté sa fanfiction sur Minerva McGonagall sur la plateforme ! (Lien en commentaire). Bon, le titre est explicite, ça parle de l'une des meilleures profs de Poudlard, de son parcours de sa jeunesse et c'est prévu jusqu'aux années 90 (années HP). C'est super bien écrit, c'est super bien pensé, c'est génial donc ALLEZ Y et votez et commentez en masse (On lui a vendu des gentils commentaires, ne nous décevez pas) !

La fanfiction et aussi validée par Cazolie et Annabethfan (pour reprendre les mots de Cazo, on est un quatuor diabolique)

CHAPITRE MAINTENANT BONNE LECTURE ! Désolée, cette semaine c'est la partie la moins intéressante, mais c'est toujours mieux que rien !

Chapitre 23 (1/2) : « La vie, c'est comme une boite de chocolat... »

-Et vous ne l'avez pas fait ?!

Le cri d'Emily embrasa mes joues et je lui fis sèchement le signe de se taire. Sa présence était d'autant plus embarrassante que j'étais en retard : le Poudlard Express n'allait pas m'attendre et j'étais l'une des dernières élèves à quitter le hall.

-Bon sang, Emily, je n'allais pas le faire dans une salle de classe, enfin ! Laisse-moi le temps ! Et lâche-moi un peu, je vais louper le train !

-Bon, d'accord, tu as raison de prendre ton temps, convint-t-elle avant de fouiller ses poches. Il faut le faire quand tu seras prête. Et dans les meilleures conditions possibles ... Mais au cas où ...

Elle me tendit une potion à la robe mauve et translucide que je pris avec perplexité. Puis je compris ce que c'était et mes joues rougirent de plus belle.

-A prendre dès le début de ton cycle, au cas où ça déraperait pendant les vacances, ajouta-t-elle avec un malicieux sourire. Mais si la robe devient épaisse, ne la boit surtout pas, ça veut dire qu'elle est passée et ... bon, bref, tu prendras tes précautions.

-Bon sang, Emily !

Mais mon amie se contenta de se fendre d'un immense sourire et m'envoya un baiser de la main. A la fois agacée et affolée par l'heure qui avançait, je jetai un sort de lévitation à mes bagages et me mis à courir à travers le parc sans me soucier de ce qu'elles pourraient heurter en me suivant. J'arrivai à la dernière diligence à bout de souffle et laissai Kenneth, qui rentrait également, monter ma malle à bord. Simon m'attendait sur le quai de Pré-au-Lard, son pied tapant impatiemment le sol tout en consultant sa montre.

-Pas trop tôt, maugréa-t-il en montant dans le train. J'ai cru qu'on allait le louper ... et vu ce qui se trame chez toi, ça aurait été catastrophique.

Le rappel de Simon fut comme une pierre posée dans mon estomac. Je plongeai ma main dans ma poche pour effleurer la lettre que j'avais reçu la veille au matin et dont les mots étaient imprimés dans mon esprit :

Victoria,

J'ai fini par faire ce dont on avait convenu, la dernière fois. Mon frère ne change pas, pas assez pour me rassurer et j'ai fini par conclure que tu avais raison. J'ai préféré le faire avant les vacances, comme ça je sais que tu seras là pour lui pendant au moins deux semaines. Encore une fois, je suis tellement désolée... Mais ne t'en fais pas, ce que je t'ai dit vaut toujours. Je ferais tout ce que je peux.

Ombres et Poussières [I-II]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant