Os en folie... ou non.

68. Surprise ! (crossover)

Dans sa chambre de préfète, Hermione est sous la douche. Elle prend son temps. L'eau lui fait du bien, un bien fous. Ces dernières semaines avaient été invivable. Entre Harry et son livre de potion étrange, Ron et sa Lavande d'amour ainsi que les nombreux devoirs que les professeurs lui avaient donné, Hermione était exténuée.

Sortant de sa douche, la jeune femme s'enveloppe d'une épaisse serviette blanche. Ses cheveux mouillés dégoulinant dans son dos. elle sait que sa colocataire de serpentard n'est pas présente passant tout son temps dans la chambre du préfet de sa maison, alors elle sort de la salle de bain sans gêne.

Elle eu la plus grande peur de sa vie en entrant dans le salon pour rejoindre sa chambre, un jeune homme, grand, brun, yeux bleus était présent. Il était d'une beauté banal mais pourtant il était là, assis sur le canapé semblant attendre quelqu'un. Vêtu de vêtement moldus, un simple t-shirt avec un pantalon en jean.

Que faisait-il ici ? C'est la question que toutes femmes normal auraient dû se poser à cet instant.

Mais Hermione sourit, elle n'est pas une femme normale, y-a-t-il d'ailleurs une définition de ce mot ? Normal ?

Il relève la tête et la voit, lui souriant en retour. Se levant la jeune femme voit le jeune « inconnu », s'approcher d'elle d'une démarche presque féline. Ils ne sont qu'à quelques centimètres l'un de l'autre, à se fixer dans les yeux. La brune se perd dans cet océan, son océan car aucune autre femme à le droit de faire cela à part elle. Un rien possessive dîtes vous ? En effet, en ce qui concerne les hommes Hermione est un peu possessive.

- Dure semaine ? Demande le garçon en ouvrant ses bras à la brune nue.

Celle-ci malgré qu'elle soit habillée seulement d'une serviette, accepte l'invitation et se réfugie dans les bras si réconfortant du jeune homme. Posant sa tête contre son torse, Hermione soupire d'aise en entendant battre le cœur de l'homme. Il n'y a pas meilleure endroit où elle est en sécurité que dans ses bras, elle en est certaine.

- Ne m'en parle pas s'il te plaît, profitons juste, répond-elle.

Le jeune homme embrasse le front de la brune (qui est toujours et encore nue !), avant de l'emmener s'asseoir sur le canapé. Le temps d'un instant dans ses bras, Hermione oublie tout ses soucis. Harry, Ginny, Ronald, Dumbledore, Voldemort, McLagen et ses avances. Non. Elle oublie tout, pensant seulement à l'homme dans son dos, à ses bras l'entourant, à ses baises dans son cou. Elle ne pense qu'à lui ces brèves instants avant de se rappeler que sa colocataire pourrait arriver n'importe quand.

- Chris... Tu ne devrais pas être là, et si Dumbledore l'apprenait ? Et si ma coloc' rentrait et nous voyait là sur le canapé ?

Le jeune homme embrassant tendrement le cou de sa petite amie se stoppe une seconde.

- Mon mode d'apparition et indépendant de votre ministère ou de vos protections magiques chérie, ton directeur ne saura jamais rien. Quant à ta colocataire, il suffit que nous changions de pièce... dit-il.

Hermione sourit à ses mots et se retourne pour l'embrasser.

- Vous dérogez aux règles de l'établissement monsieur Halliwell ? Dit-elle d'une voix que le jeune homme adore entendre.

- Vous accueillez un clandestin miss Granger ? Rétorque-t-il du même ton.

Sensuelle. C'est le mot à cet instant.

Les baisers se font plus longs, plus passionnée et le brun finit par soulever sa lionne pour l'emmener dans sa chambre. 

Avec un petit ami pareille, McLagen n'a jamais eu aucune chance.