Chapitre 5 : Une personne de confiance

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JE SUIS DE RETOUR !

Tant de chose se sont passées. Premièrement j'ai eu Xiao. Je l'ai poncé à mort. Du coup c'est devenu mon main. Mais j'ai également eu Diluc ! Et avec la 1.4 qui débarque, je pris pour avoir Venti ou Tartagalia (que j'appelle Tartiflette pour aucune raison). Au moins un des deux car je sais que je ne pourrai pas avoir les deux.

Ma pause était longue, je suis navré. Enfin bon, vous le savez, nous avons tous une vie ! Maiiiis, j'avais déjà écris le script à l'avance donc, je n'ai aucune raison d'abandonner cette fic (hormis le fait qu'elle est dure à écrire et que une bonne partie, c'est de l'improvisation à partir du fils rouge 😭).

Je vous épargne donc de mon blabla et bonne lecture !

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À nouveau dans cet immense salon, beaucoup trop large pour deux personnes, Diluc contempla Albedo qui savourait son petit déjeuner avec réflexion. Comme-ci rien ne s'était passé. Depuis le réveil, il n'avait pas évoqué les évènements de la nuit. Le génie avait surtout l'air perdu dans ses pensées. Malgré le fait que le propriétaire du Domaine de l'Aurore n'aimait pas les conversations à rallonge, il décida de briser ce silence bien trop douloureux.

«Albedo ? appela t-il.

Ce dernier fini sa bouchée pour se plonger dans les yeux rouge de son interlocuteur.

- Qu'avez-vous pensez de cette nuit ? Vous allez bien ?
- Pour tout vous dire, c'était assez expérimental. C'était intéressant de voir que le corps peut procurer autant de chimie en une seule fois. Il secrète vraiment des hormones intriguante. dit-il, une main sur son menton. Je me suis dit que l'acte en lui-même, qui procure autant de plaisir malgré le fait que cela pouvait se faire dans un but autre que la reproduction, était justement plaisant pour pouvoir pousser le vivant à le faire et donc à se reproduire. Mais le faire sans but reproductif à toutes ses raisons également. Cela procure certainement de l'endorphine, de la sérotonine et bien d'autres hormones qui peuvent nous apaiser. Je suis certain que d'une part, faire l'amour régulièrement peut être bon pour la santé physique et mentale.

Diluc ne l'avait pas couper car ce que disait l'alchimiste était fort intéressant. Cela dit, ce n'est pas ce que voulait entendre le barman à temps partiel.

- Très intéressant, vraiment. Mais ce n'est pas ce que je vous ai demandé, Albedo.
- Que voulez-vous précisément que je réponde ? questionna t-il, confus.
- Ce que VOUS avez ressenti. Personnellement et non scientifiquement.
- Oh et bien...

Albedo se mit à fixer son assiette en se remémorant l'acte. Sans même avoir commencé à s'exprimer, la teinte rosée de ses joues en disant long.

- C'était bien.
- C'est tout ? fit Diluc, déçu. Cela dit, il se disait que le petit alchimiste n'avait certainement pas pour habitude de s'exprimer d'un point de vue personnel.

Le détenteur d'Œil Divin Pyro se rappela de ce que le plus jeune lui avait dit la première fois qu'ils s'étaient parler. Il n'avait pas de personne assez proche dans son entourage pour se confier et tant il était investi corps et âme dans ses expériences, qu'il devait en oublié sa propre personne, son bien être. D'où cette inexpérience. Même lorsqu'il lui avait parler des désserts, il en avait parler en tant que donneur d'énergie et non comme nourriture succulante.
Il le regarda donc, la tête dans la paume de sa main, trouvant cela un peu triste. Albedo avait toujours l'air perdu dans ses pensées. Et quelles sortent de pensées, se demanda Diluc. Peut-être un moyen de trouver de vrais mots pour décrire ce qu'il ressentait cette nuit. Mais le voyant chercher avec difficulté, Diluc se redressa et tentant de changer de sujet, voyant bien que le blond cendré était quelque peu confus.

Plaisir corrompu (BL)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant