Plaisir corrompu (BL)

Chapitre 43 : Le chat sauvage

J'ignore si vous êtes tout aussi enthousiaste face à ce chapitre vu la gueule du précédent 😭

Ptn plus l'histoire avance et plus je plains Albedo.
Et punaise on est déjà en octobre... En fin janvier, la fic aura un an. J'aurais bercé votre année 2021 (pas du tout).

D'ailleurs en août, je devais être bourré, mais j'avais commencé un délire de Genshin Alternatif avec un Albedo électro pas très gentil. J'avais pensé à faire une illustration au propre pour le représenter car j'aimais bien le design que je lui avais fait. Mais on est en octobre, et j'ai toujours rien. J'ai pas fais de chapitre 2 avec Venti pyro. Je sais même pas pourquoi j'avais fait ça 😭

Pour les rerun entre Tartiflette et Hu Tao, vous pensez pull pour qui ? Moi Thoma. (Ça répond pas à la question mais tant pis 😂).

Bon, l'histoire est sur une pente glissante actuellement, ne vous attendez à rien, ainsi, vous vous laisserez surprendre xDD

Sur ce, bonne lecture ?

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Les heures étaient passées et Albedo avait décidé de rentrer au QG pour faire son faux rapport en disant qu'il n'avait rien trouvé car de toute manière, il savait qu'il n'y avait rien.
Il repensait à Bruce. Un si jeune homme qui devait avoir environ son âge parti inutilement sur un coup de tête. L'alchimiste était persuadé qu'il n'aurait rien dit tant il était en état de panique. Sa mort avait été inutile. D'ailleurs, vu l'aisance avec laquelle Kaeya s'y était prit pour le rétrécir, Albedo se demandait si son amant n'avait pas déjà tué avant Timaeus. Rien que d'y songer, il tremblota en se serrant les bras. Il tentait de comprendre pourquoi tuer lorsque l'on aime quelqu'un ? C'était un acte extrême. À ses yeux, même si c'était dans le but de sauver, ce n'était pas nécessaire. La mort ne servant que de délivrance à un dure châtiment qu'aurait pu se charger le karma. Puis, il se surpris à dire une phrase à voix haute :

«Kaeya, tu me fais peur.

Actuellement, Albedo se sentait terriblement coupable de tout ce qui était en train d'arriver. Il se disait que s'il n'avait jamais dit ce qui lui était arrivé, les deux hommes seraient encore en vie et jamais il se retrouverait à tenter de fuir celui qu'il aimait.

Une fois arrivé au QG, il entra dans le bureau de Jean où n'y figurait qu'elle, assise, en train d'écrire sagement. En voyant l'alchimiste arrivé, elle se leva pour venir l'accueillir, remarquant sa mine fatigué et les joues rouges. Au premier abord, elle pensait que c'était dû au froid mais lorsqu'Albedo leva la tête pour lui adresser la parole, elle eu comme l'impression de voir les yeux de Klee après qu'elle ait eu un gros chagrin. Jean compris alors que plutôt, le capitaine avait pleuré à chaude larme.

- Albedo ? Qu'est-ce qui ne va pas ?

Que pouvait-il dire ? Il n'allait certainement pas lui dire ce qu'il venait de se passer. Même si Kaeya lui faisait maintenant peur, ce dernier avait toujours une place dans son cœur et ne voulait en aucun cas lui attirer des ennuis. Les ennuis, il voulait les esquiver et être tranquille comme il l'avait toujours été.

- Je n'ai rien trouvé et... Je peux pas continuer les recherches. S'il vous plaît, Maîtresse Jean, puis-je être retiré de mes fonctions pour cette enquête ?

Voyant l'état du plus petit, Jean ne lui força pas ma main et accepta sa requête. Néanmoins, son état lui titillait trop pour le laisser partir ainsi.

- Albedo, quelque chose s'est passé ?
- Maintenant ? ...non. C'est juste...

Il soupira tant cela lui demandait beaucoup d'énergie.