Plaisir corrompu (BL)

Chapitre 13 : Avalanche émotionnelle

Étant donné que j'adore le nombre 13, je sens que je vais m'éclater à l'écrire ce chapitre.

C'est tout bête mais la veille à l'heure à laquelle j'écris actuellement, je me suis fais encore avoir sur un détail. Avec un pote on parlait de Genshin et :

Le pote : C'est ça, et Al-...

Moi : Oui ? Quoi ?

Le pote : Mais je t'appelais pas débile 😭

Moi : (._.) mmh...oh.

Le pote : J'allais dire Albedo. T'es bête ou quoi ? 😂

Moi : Oh... Oui bien sûr. Suis-je bête...

Mon prénom commence pareil. Du coup je me fais souvent avoir, même avec des mots comme "aller". Bref tout ce qui commence par Al, je suis aux aguets, près à répondre à mon appel. Bonjour la confusion. D'ailleurs anecdotes sur cet espèce de suffixe "Al" qui dans certains pays signifie dieu, d'où Allah comme vous pouvez vous en doutez. Ce qui fait qu'à une lointaine époque, avant la science moderne, l'alchimie de son étymologie était vu comme la science des dieux : Al-chimie. Simplement parce que l'on suppose que son étymologie viendrait de l'arabe "al-kīmiyā". Les chercheurs supposent aussi que cela viendrait d'une plante nommée l'alchemille qui servait aux recherches pour la pierre philosophale. Mais pour le côté "science des dieux", cela vient plutôt du langue des oiseaux que vous avez sans doute vu dans le chapitre précédent.
J'aime bien empreinter ce dialecte dans le quotidien donc attendez vous à en voir parfois.

Je remercie FMA de m'avoir fait m'intéresser à cette science jadis. Ce qui fait que parfois j'imagine Albedo ne pas être un alchimiste de l'Ordre mais un alchimiste d'État (petit blond natté à longue veste à capuche MMMMMH).
Ptn tuez moi.

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Les yeux turquoises noyés de désir fusillaient ceux de l'herboriste impuissant qui se sentait un peu protégé par le vers de ses lunettes. Il regardait le petit homme demandeur qui avait cessé de parler, ne jouant plus qu'avec sa main sur le dessus de son short comme pour desserrer l'emprise qu'il avait sur son membre. Baishu était abasourdi, il n'allait quand même pas se soulager dans son bureau, se demandait-il. Alors il se leva de sa chaise pour se rapprocher de lui.

«Albedo, ce n'est pas une question qui se pose. répondit Baishu calmement.
- C'est un cas perdu, Baishu, donne-lui son ordonnance et laisse-le partir.

L'herboriste ne répondit pas à son serpent et fixa simplement Albedo qui semblait avoir chaud.

- S'il vous plaît... demanda t-il tristement, juste un peu, Docteur.

Baishu le regardait en soupirant. Il se rapprocha en lui maintenant le visage pour regarder ses yeux pour y voir des pupilles légèrement dilatées. Puis il lui ordonna d'ouvrir la bouche déjà entre-ouverte pour regarder l'intérieur de la cavité buccale. Aucuns problèmes n'étaient en vu et la dentition semblait parfaite. Quant à l'haleine, cette dernière sentait simplement le sucre montrant ainsi ce qu'il avait mangé dernièrement. Soudain, l'alchimiste incontrôlable passa sa langue le long de ses doigts. Et il ne faisait pas que les léché, sa langue humidifia toute la longueur des doigts, un à un, lentement, sensuellement. Puis les mettait entièrement dans sa bouche pour recommencer le geste par la suite. Une fois assez sucé à son goût, l'alchimiste qui n'avait plus trop l'air d'être présent, dit à l'herboriste avec un petit sourire :

- Maintenant vous pouvez me préparer, Docteur ~

Baishu fronça légèrement les sourcils d'agacement et retourna s'installer à sa place en lâchant un soupir. Son visage s'adoucit de nouveau suivis d'un sourire volatile.