Chapitre 8 : Le Lapinou et le Grand Méchant Loup

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Nous sommes au chapitre 8. Du point de vue du script, j'en suis à la 12e lignes sur 12 pages de 22 lignes. Si ça peut vous permettre de vous donnez un aperçu de ce qu'il reste à venir xD

Ah oui et nous avons passé les 1000 lectures ! Je vous remercie ヾ(。>﹏<。)ノ゙✧*。Je suis heureux que l'histoire vous plaise.
On continue ?

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Le Cadeau de l'Ange n'avait pas fini d'être rénové. Mais les bénévoles et les employés du bar passaient parfois quelques temps de pause à l'intérieur, à discuter ou boire le peu qu'il restait car forte heureusement, c'est le bar qui avait le moins été englouti par les flammes. Bien que c'est là que se trouvait tout l'alcool. En vérité, lors de l'explosion causée par Bennett, Venti qui était présent, avait encerclé le bar avec une rafale de vent qui n'avait fait que chauffer ceux qui étaient dirigés vers le fond du bar.
D'ailleurs, Venti était présent, au bar, avec en face, Diluc peu ravi de sa présence qui rangeait les bouteilles. À côté du barde ce trouvait notre alchimiste qui n'était jamais venu pour prendre un verre. Mais dû à l'avance qu'il avait pris sur son travail, en parti grâce à ses assistants, il s'était permis de venir passer le bonjour à Diluc. Malheureusement, cela s'avérait être compliqué de communiquer en vu de la tension entre les deux ex amants.

«Est-ce que je pourrais avoir un autre verre, s'il te plaît, Diluc ?
- Non. Tu en as assez pris.
- Ne soit pas si rigide. J'ai les moras qu'il faut.
- Là n'est pas le sujet, le barde. Les quantités sont moindre et et tu en es déjà à ton 30e verres. Et je sais que tu arrives à ta limites.
- C'est même pas vrai.

Le scientifique regardait la scène sans savoir quoi dire. Il est vrai qu'il avait entendu que le barde était un ivrogne par Paimon quelques fois. Même simplement par des gens qu'ils croisaient qui disaient le payer avec des verres de vin.
Le vin de Mondstadt, il l'avait goûter une fois. L'alcool n'était pas la boisson de son premier choix. Mais cela dit, il ne pouvait pas nier le fait que le goût était intéressant et surtout l'effet que cela pouvait procurer au cerveau. Surtout en remarquant parfois les ivrognes. Il lui était arrivé une fois de boire jusqu'à n'en plus pouvoir à titre expérimental. Il était récurant que pour ses recherches, il se prenait pour son propre cobaye. Mais aujourd'hui, il n'avait pas pris de vin mais une boisson non alcoolisée. Il souhaitait rester sobre et le plus lucide possible. Il devait se concentrer sur le fait de contrôler sa libido et ses pulsions. Comme c'était quelque chose de nouveau, cela lui demandait plus de temps.

À force d'être perdu dans son monologue internet, Albedo n'avait pas remarqué que la discussion de ses voisins d'assise avait totalement changée de sujet.

- Plus jamais tu me refais tes nattes devant tout le monde. C'était humiliant et d'un ridicule !
- Pourtant tu avais mit un sacré temps avant de les retirer.

Albedo voyait que le ténébreux aux cheveux de braises ne savait pas quoi répondre. Se contentant de croiser simplement les bras accompagné d'un soupir. Signe qu'il n'avait pas envie de poursuivre la conversation. Le génie se souvenait que Diluc lui avait fait comprendre plusieurs fois qu'il parlait beaucoup, signe que ce dernier n'aimait pas vraiment les conversations à rallonge ou qui ne menaient nul part. Préférant les situations calme et posés, certainement.
Albedo posa sa tête dans la paume d'une de ses mains, coude posé contre le bar. La soirée d'hier lui travaillait les neurones. Il n'arrivait pas à comprendre comment son assistant était au courant qu'il avait couché avec le voyageur. Peut-être lui avait-il dit, mais quand ? Il s'en aurait souvenu. Sa mémoire était bien trop efficace pour oublier un tel détail. Et si il avait été présent à Ventlevé ? Cette hypothèse n'était pas impossible. C'était peut-être pour cette raison qu'Aether ne se sentait pas à l'aise. Il l'avait vu ou soit, ressentait sa présence. Tellement obnubilé par son désir d'atteindre un orgasme avec quelqu'un, qu'Albedo n'avait absolument pas prêté attention à son environnement. Le lieu était si agréable de vu comme de sensation à son goût. L'odeur de la flore était particulièrement reposante. Mais ce qui était le plus euphorique, était d'entendre une voix gémir et grogner son prénom. Cela lui faisait se sentir désirable. Telle une proie choisi par son prédateur qui était près à  le dévorer, marquant son territoire sur l'ensemble de son corps. À cette pensée, il s'imaginait ce futur "prédateur à la voix sexy", déversé sa semence en lui qui le réchaufferait de l'intérieur. Une sensation qu'il aimerait bien découvrir.

Plaisir corrompu (BL)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant