Chapitre 30 : Plaisir corrompu

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Je viens de me rendre compte mais, nous venons de passer les 20k de lectures et en quasi 7 mois, je n'ai reçu aucun commentaires négatifs à propos de cette fanfic 😳. Pas même sur les autres réseaux où vous me suivez (et merci !). Je ne croyais pas cela possible. Ça prouve bien que vous êtes les meilleurs lecteurs. De vrai amours vraiment. Vos messages me touchent énormément vous savez. Je ne cesserais de vous le dire. Woooow...

Sinon j'ai plus de primos, y'a plus d'évent, ma piti est niquée, je chiale si j'ai pas Kazu. Ces 20 prochains jours, je vais douiller. Là, je suis en train de faire des incantations avec des pentacles et des bougies, y'a rien qui va x'D

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Albedo s'était allongé au sol, totalement épuisé et regardait Hoffman en train de ranger le coffre. Sa vision était aussi trouble que ses idées très peu claire comme s'il était dans un rêve. Il vit le chevalier se relever et se diriger vers lui d'un air inquiet. Ce dernier posa un genoux au sol et tenter de ramener Albedo à lui pour lui parler.

«M.Albedo ?
- Oui ?
- Ne vous endormez pas, nous devons encore sortir du bureau. Je vais vous aider à vous relever.

Hoffman prit les mains de l'alchimiste et se releva suivis de ce dernier qui avait un peu de mal à mettre un pied devant l'autre. Une fois debout, Hoffman se recula en le lâchant pour voir s'il arrivait à tenir, tel un bébé qui faisait ses premiers pas. Et sur le moment, le chevalier imagina, très brièvement, des oreilles et une queue de chat sur Albedo. Une vision des choses qui collait, selon lui, parfaitement avec son air endormi, sans compter le noeud rose dans le cou.

«Pourquoi me regardez-vous comme ça, Hoffman ? demanda Albedo en se rapprochant.

Ce dernier ne bougea pas et avait plutôt l'air de sourire nerveusement en voyant le plus petit briser les mètres qui les séparaient. Il avala sa salive en sentant devenir dur alors qu'il tentait de faire le vide dans sa tête depuis qu'il était entré dans la pièce. Ce qui le fit tourner le regard vers la porte. Aucune voix n'avait été entendue depuis et Kaeya n'avait pas l'air d'arriver. Il regarda alors à nouveau l'alchimiste rougissant et se permis de glisser ses yeux au niveau du bassin. Vu qu'il l'avait évité, il n'avait pas fait attention à ses hanches plutôt bien dessinées pour un homme, ce qui était assez intriguant.

- La rumeur... commença t-il, était suivis d'une autre, n'est-ce pas ? Comme quoi vous auriez été surpris ayant des rapports sur une table avec Maître Diluc. En plus de la précédente qui disait que vous auriez fait de même au bureau de la Maîtresse par Intérim avec Capitaine Kaeya. Dites-moi M.Albedo, il y a t-il quelque chose qui vous tourmente en ce moment pour donner vos fesses ainsi aux hommes ? Et pas n'importe lesquels en plus.

L'alchimiste baissa la tête car il ne s'attendait pas à une telle question venant du chevalier. Devait-il y avoir une réponse ?

- Pas que je sache, répondit-il en relevant les yeux vers son interlocuteur. C'était une simple expérience qui avait prit une drôle de tournure. Et depuis ses débuts, je ne pense qu'à ça, sans grandes raisons valables ou rationnelles. Vous voulez tenter avant que quelqu'un arrive ? Je vous vois me fixer avec insistance et malgré le fait que j'ai dû jouir plusieurs fois aujourd'hui... Je suis curieux de savoir ce que ça donne avec un homme aussi sage que vous.

Il se surpris à ne pas bégayer à cause de son taux d'alcoolémie et s'étira, m'étant encore plus son corps nu en valeur face à l'homme qui était en train de le désirer.

- Retirez-moi votre armure. Je veux pouvoir voir ce à quoi vous ressemblez en dessous. Peut-être que cela me donnera envie de dessiner plus que votre visage à l'avenir.

Plaisir corrompu (BL)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant