[terminé] Albedo est coincé dans ses recherches et réalise qu'il y a un sujet dont il ne connaît que le nom : le sexe. De par cette interrogation, il va se mettre à la recherche de partenaires pour en apprendre plus sur son corps ainsi que ses réact...
J'adore faire des memes, rajouter du texte sur des images en guise de réaction durant une conversation, et puis j'ai fais ça...
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Enterrez-moi 😭 Faut que j'arrête de m'en prendre à ce pauvre p'tit bout. Ceci dit je troy e que ça représente bien ce qu'il se passe dans cette fanfic. Du moins, avant cet arc.
Sinon, euh oui, la tournure de la fic est plus morose d'un coup. Je vous avais prévenu que le dernier arc allait être spécial :') Donc, j'espère que vos tripes sont bien accrochées car ce n'était que le début.
Sinon je suis content, vos souhaits pour moi se sont exaucés et j'ai eu Kazuha *-* Et j'approche également dangereusement du niveau 56 😅
Sur ce, bonne lecture !
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À Mondstadt, en cette mâtinée timide, tout devenait beaucoup plus terne d'un coup. Le soleil était à peine levé que toutes choses devenaient morose. De chaque côté de la nation, tout le monde semblait parcourir les moments de sa vie sans se douter qu'un crime venait d'être commis. Aether et Paimon étaient partis chercher du minerais, Lisa accueillait les habitants à sa bibliothèque avant de partir concocter quelques brevage, Jean était à son bureau parlant aux premiers habitants venant lui compter leurs problèmes, Sucrose était en dehors de la ville à la recherche de quelques os, Mona restait éternellement chez elle en craignant la venue d'une certaine enfant depuis la fameuse fête, Amber venait de se réveiller avant de partir donner des conseils de planage, Diluc était quelque part dans les bois seul, comme pour y méditer, Venti jouait de la lyre calmement aux pieds du grand arbre à Ventlevé, Razor était remi de son overdose et s'amusait avec Bennett à la chasse aux trésors, Rosaria marchait en ville en regardant chaque fais et geste de chaque habitant tout en espérant que les sœurs ne viendraient pas la chercher, Kaeya venait tout juste d'entamer de nouveaux dossiers à remettre à Jean où Klee dormait sur le canapé. Et au même moment, Albedo marchait calmement, évitant de laisser transparaît le moindre doute. Il se tenait les mains, l'une dans l'autre au-dessus de son ventre pour maintenir celle qui tremblait mais aussi à cause de ses blessures à cette même main qui lui faisait mal. Autour de lui, c'était comme s'il n'y avait rien. Comme-ci le son extérieur n'existait pas, n'entendant que les battements acharnés de son propre cœur et le sang circulé à toute vitesse, lui donnant une certaine pression aux oreilles.
Il marchait sans trop savoir où aller. À la base, il voulait aller voir Kaeya. Mais en vu de son état, il avait peur qu'il se doute de quelque chose. Il ne souhaitait pas qu'il le sache. Pensant désespérément à Klee, il ne pouvait pas se le permettre. C'était la première fois qu'il se sentait dans un terrible état. Alors sur l'instant, complètement désamorcé, il alla chez lui, espérant que son amant soit déjà parti et à son plus grand soulagement, c'était bien le cas. En entrant dans le salon, il pu voir un mot sur la table, un mot écrit par Kaeya lui-même lui disant qu'il était parti travailler et qu'il espérait le voir ce soir. Ce soir ? Est-ce qu'Albedo sera remit sur pied ce soir ? Peut-être. Il ne le savait pas. Sa tête chauffait à cent à l'heure et il ne savait pas trop où se positionner. C'était comme-ci ce qu'il venait de se passer n'était pas réel. Tout était encore trop frais dans sa tête. Il entendait encore la voix de son assistant lui dire ces horribles phrases. Elles résonnaient dans sa tête tel un écho insupportable.
