Plaisir corrompu (BL)

Chapitre 60 : La fin d'une longue expérience

Whoaw. Presque 100k et surtout...
60e chapitres quand même. Ça me fait quelque chose d'en arriver là, vous vous doutez bien. Il me semble que c'est la première fois que j'arrive réellement au bout d'un projet de longue durée. D'habitude j'arrête, j'abandonne ou je recommence xD ou soit j'ai les storyboards et les scripts qui traînent et pas de version propre.
Je pense que ceci est grâce à vous mais gardons les remerciements et les mouchoirs pour plus tard, j'ai un dernier chapitre à écrire ☺️

Qu'est-ce que je peux bien dire en intro pour une symbolique pareil ? Je sais pas. Euh... J'attend Ayato et Heizou peut-être ? Mmh, je doute que ce soit important. Mais ainsi, cela marque la période où j'écris tout ça !

Punaise en vrai je suis un peu nerveux et du coup je ne sais pas trop comment commencer le chapitre. J'ai comme une sorte de pression. Pas que j'ai envie qu'il soit parfait mais j'ai vraiment pas envie de décevoir ou que ce soit trop ennuyant comme les 20 derniers chapitres ;-;
... Piouf, je me met de la pression pour rien je pense. Vous me direz que c'est une fanfic, en effet. Mais le titre de fanfic ne veut pas dire "à bâcler". J'ai une âme d'auteur et d'artiste, je ne peux m'empêcher d'un minimum bien faire une histoire, même s'il s'agit d'une simple fanfic.

C'est donc avec cet état d'esprit que vous laisse à votre lecture tout en espérant que cela soit à la hauteur de vos attentes.

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C'était le lendemain de la petite aventure intime que l'alchimiste avait eu. Lorsqu'il s'était levé pour aller comme chaque jour, travailler, il avait vu le vase que Jean lui avait passé pour les cecilias. Malheureusement avec le peu d'entretien qu'elles avaient eu durant les moments difficiles de l'alchimiste, elles avaient fanées. Ce qui faisait que ce dernier était à présent vide, faisant simplement office de décoration sur un bureau tel une œuvre d'art en exposition. En pensant aux cecilias et à la peine que s'était donné Kaeya de les ceuillirs, il eu une idée qui risquerait de lui prendre pas mal de temps.

._._.

Les jours passaient et évidemment, Albedo ne donna aucun signe de désir sexuel à Kaeya qui commençait parfois à s'apatienter. Mais ne voulant pas avoir l'air d'un loup en rut, il se contentait seulement de l'embrasser, de le câliner voire de le taquiner également car c'était dans sa nature et il n'allait pas se retenir pour ça. Même si parfois Albedo avait l'air exaspéré par ces agissements.
En réalité, Albedo en ressentait également l'envie, mais étant assez minutieux, il tenait à le faire à un moment précis qui s'apparenterait à un moment symbolique. Chaques détails devaient être utilisés à sa juste valeur. Et ensuite, il se disait qu'après cela, il pourrait faire du rodéo sans se soucier de ces détails. En plus de cela, il vérifiait de temps à autre l'état de son étoile ou de ses yeux mais il n'y avait jamais rien à signaler. Au bout d'un moment, il fini par comprendre que Rubedo était bien parti. Il avait vraiment l'air de se sentir beaucoup mieux qu'avant. Comme-ci sa propre conception était achevée pour devenir le véritable Albedo qu'il ignorait auparavant.
À cet instant, Kaeya à ses côtés, assis sur une chaise dans le laboratoire de Dosdragon écoutant les discours sur l'alchimie de son amant, ce dernier commençait à partir dans un monologe personnel :

«En alchimie, Rubedo fait référence à l'affinage de ses sentiments. Je ressens que l'affinage de mes propres émotions est aussi de ton fait. Ce que j'insinu par là, c'est que même si cette phase a été dure pour tous, elle a été une période obligatoire dans mon propre développement. Sans elle, j'aurais ignoré les sentiments que j'avais à ton égard. Parfois, passer par des périodes difficiles nous aides à voir d'autres perspectives et donc à avoir une évolution plus rapide... Même si cela peut apporter des blessures dure à combler. Je dirais que c'est le prix à payer lorsque l'on privilégie la quantité à la qualité.