⌜ NOCIF ⌟ ᴺᵃᵐᵍᶤᵀᵃᵉ

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Samedi 2 février :

Le trajet est affreusement long et ma patiente est mené à dure épreuve. J'ai tellement envie d'arriver à destination et de découvrir l'endroit où nous partagerons notre première et ultime lune de miel.

Le jet où nous sommes est aussi luxueux que celui qui m'a amené au Japon, là où il m'a demandé ma main. Quand j'y repense, je ne suis jamais allé dans un avion lambda alors que je suis désormais client régulier des jets.

En tout cas, que ce soit dans un avion classique ou luxueux le résultat est le même et je m'ennuie un peu. J'approche alors légèrement mon visage de son oreille et lui murmure :

— Je m'ennuie.

Il tourne sa tête vers moi, rendant ce dernier plutôt proche du mien pour mon plus grand plaisir.

— Repose-toi un peu, dans ce cas.

— Non, j'ai une meilleure idée.

Je me rapproche davantage de son oreille et lui murmure d'une voix suave accompagnée d'un parfait sourire joueur.

— J'ai une soudaine envie d'aller aux toilettes, tu veux venir ?

Bien sûr, si j'avais envie de faire ce que tout le monde fait aux toilettes, je ne l'inviterais pas, mais là j'ai d'autre idée qui mûrissent dans mon esprit et je ne sais s'il l'a compris.

Son visage qui ne dégage aucune émotion me fait comprendre qu'il ne doit pas tout saisir ou alors il reste bien calme. Je pose alors ma main sur son entrejambe et lui murmure :

— À moins que tu désires qu'on se soulage ici ?

Sa main prend soudainement la mienne et l'écarte de son entrejambe, il se lève de son siège et me tire vers les toilettes les plus proches. Je suis satisfait de voir qu'il désire lui aussi qu'on passe le temps à faire quelque chose de bien plus productif.

Désormais dans les toilettes luxueuses de l'avion, nous nous faisons face à quelques centimètres seulement. Sa respiration tape contre mes lèvres envieuses des siennes alors que son doigt se pose sur mes croissants de chères qui ne demande qu'à être dévoré.

D'une voix plutôt basse et suave, il me murmure le souffle court :

— Putain- J'ai envie que tu me suce maintenant.

Sa voix résonne de façon si autoritaire que l'envie de lui faire plaisir avec ma bouche se décuple aussitôt. Un léger sourire se trace sur mes lèvres pendant que je presse mes mains autour de sa ceinture pour que je puisse enlever avec facilité cette dernière. Mes mouvement sont lent pour faire monter une certaine tension sexuelle entre nous.

J'ouvre finalement son pantalon et le descend jusqu'à ses chevilles, faisant le même circuit avec son caleçon. Je me met accroupi et me retrouve face à son membre, je relève ensuite mon regard vers son visage et le prévient d'une voix amusée :

— Tu te rends compte qu'on va réaliser ton fantasme ?

Sa main entoure ma mâchoire pendant que son pouce se pose sur ma lèvre inférieure et l'entrouvre sans pression.

— Mmh, je m'en rends compte.

Un sourire victorieux s'imprègne sur mes lèvres, mais n'y reste pas longtemps, mes lippes s'enroulent rapidement sur le haut de son membre désormais à découvert et que j'enfonce le plus possible dans ma trachée désormais habitué à la taille de son membre.

Désormais, son sexe est humide et ne fait que bougé brusquement dans ma cavité buccale avec facilité et aplomb, le faisant soupirer de plaisir dans ces toilettes, à des milliers de kilomètres du sol. Je place mes mains sur ses hanches pendant que mes lèvres dévorent son membre de haut en bas jusqu'à lui faire de grande gorge profonde qui le fait grogner à de multiples reprise.