Harry Potter et la famille Malfoy

Chapitre 41: Retour à la maison

En début d'après-midi, la cérémonie rendant hommage au mort de la bataille de Poudlard fut célébrer dans la Grande Salle. Les Lycans avaient profité que l'attention de tous soit porté sur la cérémonie pour quitter leur clairière et se rendre dans le village international où il furent accueilli par Shizuki et Jackson. La Kitsune et le chauffeur les conduisirent jusqu'au bus où ils les aidèrent à s'installer. La salle d'entrainement du bus avait été transformée en infirmerie. Jackson demanda l'aide de Remus et Fenrir pour agrandir les dortoirs du bus. Il fallait pouvoir placer tout le monde pour la nuit. Les deux loups garou aidèrent avec joie une fois que Fenrir eu donné ses ordres à sa meute, c'est-à-dire que trois louves devaient garder les louveteaux dans le séjour, tandis que le reste de la meute irait dans l'infirmerie pour s'occuper des patients.

- Akela, où vas-tu, demanda Remus en voyant son louveteau partir vers les chambres.

- Cissy, dit simplement le petit garçon.

Fenrir et Remus suivirent leur louveteau jusqu'à une porte et lui ouvrirent en voyant qu'il voulait aller à l'intérieur. Là, ils découvrirent le Quatuor Infernal dormir du sommeil du juste. Akela essaya de monter sur l'immense lit qui avait pris la place des quatre lits initiaux. Fenrir souleva Akela et le déposa dessus. Quand il fut sur le matelas, le petit loup se faufila entre Greyson et Cassiopée et se blotti contre la sorcière qui d'instinct l'entoura de ses bras. Le petit bonhomme sourit et se mit à jouer avec une mèche de cheveux de la jeune fille. Le couple le laissa faire et agrandirent magiquement la pièce où ils ajoutèrent quatre autres lits pour le reste des Inséparables. Ils quittèrent ensuite la pièce après avoir demandé à Akela de rester sage, ce que promit silencieusement le louveteau.

Ils continuèrent d'agrandirent les chambres avec Sirius qui avait quitté la cérémonie plus tôt, ne la trouvant pas à son gout. En réalité Remus savait que si Sirius était partie de la cérémonie si tôt c'est qu'il ne pouvait plus contenir sa rage contre Dumbledore et que pour éviter tout problème il avait préféré rentrer au Bus Magique. Quand les ajustements furent terminés, Sirius partie jeter un coup d'œil à ses neveux et sa nièce et resta un long moment à les observer. Il leur devait beaucoup, ça c'était certains car sans eux, il serait encore dans sa cellule à Azkaban. Il soupira et quitta la pièce.

Quand il arriva dans le séjour, il remarqua que Fenrir et Remus n'était pas là. L'une des louves lui appris qu'ils étaient à l'infirmerie quand l'un des louveteaux se mit à hurler devant l'apparition d'un rat. Rat que Sirius reconnu tout de suite. Il se dépêcha d'attraper l'animal avant que quelqu'un ne le blesse et s'assura qu'il ne rêvait pas. Le maraudeur observa méticuleusement le rongeur avant qu'un grand sourire ne prenne place sur son visage et qu'il se mette à rire joyeusement. Remus et Fenrir qui était venu voir ce qu'il se passait après le hurlement d'un des petits découvrirent un Sirius euphorique avec un rongeur dans les mains. Remus se mit aussi à sourire et rejoignit son meilleur ami dans sa danse de la joie. Fenrir les observa sans comprendre et décida d'attendre que les deux anciens farceurs se calment pour avoir le fin mot de l'histoire. Depuis que les deux anciens Gryffondors s'étaient retrouver, il avait appris à ne plus les interrompre. Devenir rose lors d'une transformation lui avait servi de leçon. Maintenant, il allait devoir attendre que tout le monde se calme car les petits courraient partout dans le séjour en riant devant le comportement des deux adultes.

- Peut-on savoir ce qui vous met dans cet état, finit par demander Fenrir une fois tout le monde calmé.

- On a retrouvé Queudver, sourit Sirius comme un gamin.

- L'inconvénient c'est qu'il n'arrive plus à reprendre sa forme humaine, informa Remus. Mais je crois qu'il pourrait être soigné à l'UMES.

- Je suis heureux pour vous deux, sourit Fenrir en prenant Remus dans ses bras. Les délégations ne vont pas tarder à rentrer, on devrait préparer quelque chose pour un feu de camp.