The Savior Is Back🦢

Chapitre 52

Queenie avait approchée ses lèvres de celles de son amant. Elle lorsqu'elle avait ouvert les yeux rien ne s'était produit. Auguste étit toujours dans le même état. Du bois. Alors Queenie recommença une nouvelle fois persuadée quelle n'avait pas fait ce qu'il fallait pour donner un baiser d'amour sincère. À la deuxième tentative Regina posa ses mains sur les épaules de son double pour la réconforter. 

-Ça ne fait rien Queenie.

La reine face à cette deuxième tentative râtée compris. Il n'y avait pas de baiser d'amour sincère parce-que Auguste n'était pas son Véritable Amour, son True Love. Ce fut ainsi que la reine disparut dans un nuage de fumée violette.

Regina fut confuse et s'en voulait. Henry s'approcha de lui.

-J'ai de la peine pour Maman Queenie.

-Queenie est forte mon chéri.

La nuit était tombée sur la ville et les grondements au loin n'anonçaient rien de bon. Ils étaient signe que la fureur destructrice de la mort approchait à grand pas. Le ciel n'étaient pas complétement noir des lueurs terrifiantes illuminaient le ciel comme l'auraient fait des élairs. Elles étaient rougesp et blanches. Dans les rues de la ville les gens se réunissaient. Des grands feux avaient été allumés pour se réchauffer autour de l'horologe de la ville. Ce petit confort réchauffait les corps et rendaient l'épreuve un peu moins dure. Autour de Lindsey les gens étaient venus nombreux. Emma, Regina, Henry et les Charmants avaient rejoint Lindsey. La jeune fille était sociale et prenait le temps découter chaque habitant qui s'adressait à elle. Malgré les craintes, les doutes et la peur omniprésente son sourire et sa joie de vivre ranima un peu d'espoir chez les habitants de la petite ville du Maine. Regina n'avait jamais vu sa fille ainsi. Pendant tout le temps qu'elle avait passé à Storybrooke elle n'avait jamais dégagé une telle energie. Parfois elle avait rit et sourit mais il manquait quelque chose en elle depuis la mort d'Anne. Et cette étincelle, elle s'était ranimée ce soir. Face à la destruction et la mort Lindsey savait si prendre. Lindsey était faite pour ça. Elle était faite pour les combats. Pas seulement les combats violents de guerriers mais aussi les combats morales qui mettait l'âme et le corps à rude épreuve. Lindsey était faite pour aider les gens à sortir de l'impasse pour leur apporter de l'amour et de l'espoir. Lindsey rayonnait autour des lueurq que dégageaient les feux. Elle s'activait autour des gens. Elle les faisait même rire. Les religieuses avaient même eut vent de cette réunion et étaient venus y participer. Les gens se serraient dans leurs bras, se remémorraient de bons souvenirs et partageaient un excellent moment. Lindsey ne voyait pas le temps passer mais pourtant la menace se rapprochait. Le vent se leva. 

Dans les rues de Storybrooke une brunette marchait vêtue d'un long manteau et portant dans ses bras un bébé emmitouflé dans plusieurs couches de vêtements. Une petite clochette sonna. C'était bien la seule boutique qui était encore ouverte. De l'arrière boutique Rumplestiltskin en sortie. 

-Si c'est pour récupérer une vielle babiole souvenir de votre dernière vie prenez la et cass...

Le Ténébreux s'arrêta.

-Belle...

-Tu as retrouvé ta chère dague à ce que je vois lança t-elle en lui désigna l'objet en sa main.

-Je voulais la voir une dernière fois. Mais elle ne me sera de plus aucune utilité et de toute façon je n'ai aucune idée d'où elle réapparaitra après ma mort et de qui sera le prochain Ténébreux.

-Toi non plus tu ne seras pas épargné.

-Non, même malgré ma dague Rumplestiltskin mourra.

Il la posa sur le comptoir et les larmes aux yeux il s'approcha d'elle et de son enfant.

-Pourquoi... es-tu revenu là Belle? Tu n'es pas avec les autres dehors?

-Gideon devait voir son père une dernière fois. La jeune femme eu les larmes aux yeux. C'est dur à dire. Je n'arrive pas à croire que mon fils, mon enfant soit condamné à mort. J'ai essayé de chercher encore et encore dans la bibliotèque dès que j'ai su l'échec d'Emma, Regina et de la Reine mais je me suis dit que c'était inutile je voulais passer les derniers instants avec Gideon et toi.

-Moi? Ce monstre affreux, lâche et égoiste...

-Oui tu l'es Rumple mais malgré tout cela la vérité c'est que je continue à t'aimer et à l'heure qu'il est je n'arrive plus à t'en vouloir.

-Belle...

Rumple serra sa femme et son bébé contre lui. 

-Je t'aime ma petite Belle.

Tous les deux pleuraient.

-Moi aussi Rumple je t'aime.

Et puis Rumplestiltskin eu une idée. Il attrapa la dague.

-J'ai peut-être une solution.

-Une solution? de quoi tu parles Rumple?

-Pour te sauver toi et Gideon et aussi toute la ville.

-Attends... Je ne comprends pas...

-Cette dague est un morceau de la puissante excalibur. Je crois que j'ai trouvé un moyen réparer la ville et de tuer le Ténébreux.

-Rumple qu'est-ce que tu comptes faire?

-Je m'occupe de tout Belle. C'est à mon tour de me racheter.

Et il prit la direction de la sortie mais Belle le rattrapa.

-Tu veux te tuer Rumple?

-Je vais jeter ma dague dans le trou noir et la ville va absorber son energie.

-Tu crois que ça va fonctionner?

-Plutôt que de ne rien faire je vais tenter le tout pour le tout.

-Rumple tu ne peux pas...

-Il est temps d'être l'homme que tu as toujours voulu que je sois Belle.

Et il l'embrassa sur les lèvres avant de sortir de la boutique.

Un vent violent balayait les rues de la ville. Les habitants qui étaient réuni autour de Lindsey étaient mis à rudes épreuves. La violence de la tempête était là. La mort était là. Le vent fit vaciller les tables et éteignit les feux. Les gens étaient trempés jusqu'aux os. Et à cet instant il n'y avait plus aucune once d'espoir. Les gens fuyaient, apeurés pour se réfugier. Mais ils savaient que c'était temporaire. Toutes les cachettes allaient être bientôt balayées. Et le jour ne se lèverai plus.

La cadillac s'était arrêtée. Gold avait peur. Mais il sorti quand même de sa voiture, sa canne a la main. Sa cravatte ne restait pas en place et senvola derrière lui sur son épaule. Ses cheveux étaient trempés et son visage agressé par le vent violent. Sa dague en main il avança. Il avait réussi à la récupérer. Personne ne pouvait lui voler sa dague aussi longtemps. Il était bien trop malin pour ça. Mais cette fois, il désirait en faire bon usage. Des éclairs avaient retentit. Le ciel semblait s'embraser dans la nuit noir. Avec les phares de sa voiture toujours allumés il distinga une silhouette. Il s'arrêtait net. Apeuré. Il crut l'espace d'un instant qu'il s'agissait encore d'un alter comme l'autre fois qui allait l'emmener dans un pays beau et lointain pour atteindre une mort plus paisible. Mais lorsqu'il vit deux mains se lever vers le ciel, la silhouette de dos avançant toujours il comprit que quelqu'un avait eut la même idée que lui...