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DEUX SEMAINES PLUS TARD.

Khloe.

[...]

Je boucle le noeud de mon lacet et me lève du banc où je mettais assise. Je récupère mon sac de sport, de couleur rose, que j'accroche à mon épaule grâce à la bretelle de celui-ci. J'attrape par la même occasion ma gourde d'eau avec moi et sors du vestiaire.

Il est tout juste 18heure. Mon entraînement touche à sa fin. Après les cours, je me rends directement au gymnase qui se trouve à l'autre bout de la ville. Je fais de l'athlétisme, du sprint pour être plus exact.

C'est un sport que je pratique depuis toute petite. C'est d'ailleurs pour moi le seul moment où je peux souffler. Je me donne vraiment à fond dans ce que je fais.

Enfin bref.

En arrivant à l'extérieur de l'établissement, j'ai croisée le coach. J'espérais lui toucher quelques mots au sujet du championnat qui aura  lieu ce samedi mais il était déjà en pleine discussion avec un homme.

Je suis simplement passé à côté pour le saluer.

« Khloe : Au revoir coach.

Coach : Passe une bonne fin de soirée Khloe. Quelqu'un vient te récupérer ce soir?

Khloe : Euh...»

Je sors mon téléphone de ma poche arrière et l'ouvre. Ma mère venait de m'envoyer un message m'expliquant qu'elle aura du retard.

Je le range puis me tourne vers lui.

« Khloe : Oui. C'est ma mère qui vient..elle aura du retard mais...je vais l'attendre dehors.

Coach : Fais attention à toi! Et traîne pas trop dans les alentours, c'est dangereux par ici.»

Je souris et promet de faire attention. Je les salut et m'en vais prenant la direction d'une supérette qui ne se trouvait pas loin.

Il fait nuit et il fait également très froid. Je marchais le plus vite possible pour m'y rendre.

Une fois arrivé à destination j'entre dans plus tarder et me place contre la vitre. Je ressors mon téléphone afin d'envoyer un texto à ma mère concernant ma position.

À ce moment là, la porte de la supérette s'ouvre, je lève instinctivement les yeux et le vois entrée en se dirigeant directement vers le comptoir. J'envoie le message à ma mère puis range le téléphone. Il ait fallut que je tourne le regard quelques petites et misérables seconde pour que je le perde de vue.

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant