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•••

Leonidas.

Thomas m'a invité à un brunch ce matin. J'ai été très surpris une fois arrivé, il n'était pas seul, il était d'ailleurs en très bonne compagnie. Après les avoirs salués et commander mon déjeuner les deux sont vite entré dans le vif du sujet et sincèrement je m'attendais à tout sauf à ça.

La femme qui de trouvait à sa droite n'était qu'autre que la manager d'un ancien champion de boxe.

Je vais être bref car nous avons discutés plus de deux bonnes heures.

Elle m'a expliqué que ce boxeur en question préparait un grand match de boxe avec quelques boxeurs qu'ils soient connus ou non. Un combat de charité pour les hommes et femmes démunis, sans domicile fixe et pleins de choses dans le genre.

J'ai immédiatement accroché.

En plus de cela les combats seront médiatisés, ce qui me permettra de me faire de plus en plus connaître et pourquoi pas décrocher ma licence pour pouvoir enfin entrer dans la cour des grands, c'est-à-dire ; être un boxeur professionnel.

Après que l'on aient discutés elle s'est excusée auprès de nous car elle devait se rendre à un autre rendez-vous.

« Leonidas : J'y crois pas.

Thomas : Les choses commencent à changer mon p'tit.

Leonidas : C'est clair et sans toi.. sans ton aide il désapprouve d'un signe de tête, sans ton aide répétait-je, je n'aurai pas eu toutes ces opportunités.

Thomas : C'est mon boulot Leonidas. D'ailleurs il va falloir que de ton côté tu commences à te chercher un(e) manager.

Leonidas : J'ai encore le temps, j'veux pas me précipiter.»

Ce n'est que le début donc rien ne sert de se presser de la sorte. Après avoirs payée, nous nous sommes dit au revoir en partant chacun de notre côté pour rejoindre nos voitures respectives.

Au moment où j'enclenche la clé dans la serrure de contact Javas se redresse en sortant de sa cachette et prend immédiatement place à l'avent côté passager. Je me suis permis de le dévisager. Il sort de son pantalon arrière une arme blanche qu'il enfuie dans ma boîte à gant.

« Javas : À 23 heures tu recevras un message avec des coordonnées. Soit à l'heure.»

Sur ces mots il ouvre la porte de la voiture pour la claquer et remonter dans une autre voiture. J'ai attendu qu'il démarre pour partir à mon tour.

[...]

J'entre à contre cœur dans l'ancien immeuble où je séjournait, pour me rendre à l'étage supérieur.

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant