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•••

James.

L'avocat s'approche accompagné d'un  officier. Il se tourne vers moi pour m'annoncer qu'ils acceptaient de me laisser cinq minutes avec André.

Avant de m'en aller le voir Brendy me retient le bras. Je m'arrête donc et me tourne vers elle.

« Brendy : Fait tout ce qui est en ton possible pour le faire sortir d'ici..je t'en supplie.»

J'aperçois une larme se versée le long de sa joue.

En temps normal on se seraient chamailler, insulter et j'en passe. C'est pour la toute première fois que je la vois dans un état pareil pour André.

Je n'ai jamais eu d'attache avec Brendy mais la voir comme ça m'a quand même un peu toucher. J'affiche un léger sourire pour la rassurée et l'officier m'emmène le voir.

Il m'ouvre la petite cellule dans lequel il l'avait enfermé puis il nous laisse après m'avoir rappelé le peu de temps qu'il me restait avec André.

Je me suis tourné en sa direction. Il avait la tête plongé dans ces mains, se grattant l'arrière du crâne, les jambes tremblantes; tout signe montrant sa nervosité.

Il ne m'avait pas encore vue et il n'avait ni levé la tête après que je sois entrer.

J'inspecte le lieu même si il n'y avait pratiquement rien a admirer autour de moi. C'était vide. Il n'y avait qu'un banc qui habitait ce taudit.

Je prends place sur le banc, juste à côté de lui. Lorsqu'il a sentit ma présence il a relevé le visage pour se tourner vers moi.

Ces yeux étaient rouge, d'un rouge qui affirmait qu'il avait pleuré. Mais à cet instant il ne pleurait pas. Son visages était serrée et laissait apparaître une mine abattu mais également rempli de colère. Sa mâchoire quand à elle était contracté et il venait de former des poings avec ces mains.

« James : Pourquoi est-ce que tu t'es rendu chez elle?»

Il tourne la tête pour regarder droit devant lui. Sa mâchoire se contracte de plus en plus. Ces veines commençaient à apparaître sur ses tempes.

« André : Je voulais simplement la voir et ça a dégénéré.

James : Au point de te retrouver derrière les barreaux disais-je remonté

Je dirais même que j'étais bien plus que remonté!

André je le considère comme mon petit frère. Je le connais depuis une éternité. Je connais tout de lui, ces pensés, ces ressentis et même les sentiments qu'il éprouve pour Paloma.

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant