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L'hôpital était la seule solution c'est donc là-bas que je l'ai emmené. Tout le long du trajet il ne disait rien et moi non plus d'ailleurs. Mais je n'arrivais pas à regarder autre part que son visage. Je n'aime pas dire ce mot mais pour le coup, il me faisait vraiment de la peine.

Tout comme pour la première fois avec James.

Une fois arrivé, nous avons attendus comme tout les autres patients qui eux ne s'empêchaient pas de le dévisager d'un mauvais regard.

« Paloma : Leonidas.»

Sans réponse. Je ressaie une deuxième fois et aucun résultat. Après avoir hésité je décide finalement de poser ma main sur sa joue et me met à la caresser de mon doigt. Il réagit et tourne sa tête avec difficulté.

« Leonidas : Mmh dit-il d'une voix affaiblie.

Paloma : Tu as soif? Je vais te chercher de l'eau, d'accord?»

Il me répond de la même manière et retourne sa tête de l'autre côté. Je le regarde un petit instant puis m'en vais comme prévu lui chercher de quoi boire. Je me suis rendue à la cafétéria pour au final acheter plus qu'une boisson. Je lui ait pris de quoi manger le temps qu'un médecin le prenne en consultation.

En retournant à la salle d'attente plus je m'approchais plus j'entendais des cris. Et m'approchant de plus en plus les cris venaient de plusieurs personnes qui se plaignaient.

Quand je suis arrivé une femme se tenait debout devant Leonidas. Elle lui criait dessus. On aurait limite cru que c'était son fils.

Elle le tire de sa chaise ce qui fait que Leonidas tombe raide par terre. Un homme s'est levé à son tour et s'est approché de lui pour lui donner un coup au ventre. Je me suis vite empressé de l'aider.

« Paloma : MAIS ÇA NE VAS PAS! C'EST QUOI VOTRE PUTAIN DE PROBLÈME. »

La femme qui l'avait mis à terre prend la parole disant que l'odeur qu'il dégageait était affreuse sans oublier la posture qu'il avait. Son visage était défigurée et il n'est pas bon pour les enfants qui se trouvaient dans la pièce voient cette horreur.

Les mots qu'elle a employé était bien plus fort et beaucoup plus déchirant que ce que je vous aient écrit ci-dessus.

Nous étions sous l'obligation de sortir sous les menaces des patients et du personnels de hospitalier qui disaient que si l'on ne sortaient pas immédiatement les forces de l'ordre le feront à notre place.

Je l'ai relevé, seul, et nous sommes sorties après ce scandale.

Une heure plus tard...

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant