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Leonidas

J'ouvre brusquement la porte et entre dans la pièce où se trouvait moi géniteur. Cette pièce s'avère être un bureau. Un grand espace libre me séparerait de Kagiso qui lui, était sagement posé sur le siège et me regardait d'un air légèrement surpris. Avant même que je ne dise quoique ce soit il raccroche et dépose son téléphone sur la surface de son bureau d'angle.

« Kagiso : Que fais-tu ici? Et quelle sont ces manières d'entrer sans même avoir reçu mon autorisation!

Leonidas : De quels lettres est-ce que tu parlais! demandais-je en haussant le ton.

Kagiso : Tu dois te reposer. Les coups que tu as reçu ne ce sont pas encore cicatrisé...

Leonidas : Répond à ma question! Quels sont ces lettres? Pourquoi est-ce que je ne les aient jamais eu en ma disposition! Qu'est-ce que tu me caches! Hein! Dis-le moi!»

Je m'approche d'un pas décider pour lui faire face. Remplis de colère, je m'apprêtais à le prendre par le col de son chemisier blanc lorsque l'un de ses gardes fait son apparition dans la pièce et s'interpose entre nous. Il me prend par derrière et arrive en l'espace de quelques secondes à me mettre au sol puis bloquer mes membres.

J'entends Kagiso se lever du siège grâce au grincement et au bruit qu'émet les pieds de la chaise. Puis ordonne à son homme, en zoulou, de me relâcher.

« Kagiso : Mon fils...

Leonidas : Ne m'appelle pas comme ça! J'ai cessé d'être ton fils il y a bien longtemps! dis-je après avoir m'être éloigné de son garde du corps. C'est toi même qui l'a dit. En amenant Quincy au parloir. Tu n'es même pas capable de porter tes deux c******* comme un véritable homme!

Kagiso : Dois-je te faire rappeler que tu es en la présence de ton roi mais aussi de ton père? Je sais ce que j'ai dis ou de ce que j'ai pu faire et si j'ai pu te blesser sache que j'en suis désolé.

Leonidas : T'es sérieux? Tu crois sincèrement que j'vais avaler tes sales paroles?! J'm'en cogne de tes excuses et de comment je dois me tenir face à toi! Je n'éprouve que du mépris et du dégoût envers toi. Encore plus après ce que je viens de découvrir!

Kagiso : Si tu fais référence à ces lettres sache que je l'ai fait pour ton bien.

Leonidas : Attend..attend! De quel bien est-ce que tu me parles? J'ai pas besoin de ta protection et je n'en ai jamais eu besoin d'ailleurs! J'ai longtemps essayé d'avoir des informations sur ma mère pour en connaître un peu plus sur celle qui m'a mise au monde mais un connard comme toi m'en a toujours en empêcher! J't'ai beaucoup trop écouter mais à partir d'aujourd'hui saches que je ferai tout pour la retrouver! Etpour que cela se fasse, tu vas me donner ces lettres!»

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant