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Paloma.

Il s'avance et ferme le grand rideau qui empêchait de voir à l'intérieur de cette petite chambre. Je me tenait debout, tout près de la sortie, la main posé sur mon bras. J'examinais la pièce où je me trouvais.

À ma gauche se trouvait un lit en forme de cercle couvert d'un sous drap  tout d'eux imprégné de la même couleur noir. Tout comme le peut de meuble qui décorait le reste de l'endroit. Le rouge qui recouvrait le mur donnait une ambiance angoissante.

Le plafond était lui aussi rouge, une petite lampe pendait vers le bas et c'était cette lampe qui illuminait la pièce avec deux autres lampe posé sur les deux commode près du lit.
En descendant vers la droite, une barre de fer était posé.

J'ai vite immédiatement regardé autre part. Voir çette chose, m'a complètement mit mal à l'aise.

Il me prend la main et me fait avancer jusqu'à celle-ci. Il me laisse planter là tandis qu'il se dirige à l'endroit où les baffes se trouvait. Il était de dos, je ne pouvais pas voir ce qu'il faisait mais j'ai vite compris qu'il était tout simplement en train de régler pour jouer une musique.

Il s'est ensuite assit sur le canapé en cuire noir où il s'en fonça puis écarte ses jambes sans me quitter du regard.

C'est d'une voix totalement sèche qu'il m'ordonne de danser devant lui. Mais je n'y arrivais pas, mes membres ne bougeaient pas.

« André : Tu voudrais tout de même pas que j'appelle X et qu'il bute ton fils de pute!»

Non. Tu ne rêve pas. C'est bel et bien André qui se trouve devant moi. Il est même d'ailleurs assez remonté que je sois là, à ne rien faire.

Je n'ai rien dit et je me suis dirigé en direction de la sortie pour quitter cette endroit maudit quand je le sens me prendre fermement par mon poignet. Il me retourne aussitôt pour me propulsé vers l'arrière et me plaquer d'une violence contre le mur.

« Paloma : LÂCHE-MOI!»

Je me reçois une gifle de sa part.

« André : Cri encore une seule fois et je te jure que je te fais la peau dit-il d'un regard noir

Mes larmes ce sont mises à couler. Il m'a tiré le bras et m'a ensuite jetée tel un vulgaire mouchoir sur le lit.

Je me redresse rapidement pour me recroquevillé sur moi-même.

Et dire qu'il y a un instant je devais simplement en dosser le métier de serveuse pour cette nuit. Mais le changement de programme a fait que je me retrouve ici, avec, André qui était accompagné de James avant qu'ils ne se séparent.

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant