38

247 22 5
                                    

•••

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.



•••

Leonidas.

Quelques heures plus tard...

Même si ça n'a pas été facile j'ai tant bien que mal essayé de la calmer. Elle ne voulait ni que je la touche et encore moins me laisser parler pour me défendre à ce sujet. Puis j'en ai conclu que ça ne servait à rien de la rassurer car pour elle mes paroles ne seraient que mensonge.

Je l'ai alors laissé tranquille en quittant la pièce.

Je suis resté en bas en prenant place dans le séjour, dans le noir total.

Je pouvais l'entendre pleurer de là où je me tenait. Je me sentais mal, je me sentais mal pour elle. Mais pour moi aussi car j'avais comme l'impression d'avoir échoué.

Quand bien même je sais que je n'ai pas commis d'adultère, je m'en voulais de ne pas avoir tout fait pour éviter cet action. Ce baisers qui a permis à ce qu'elle puisse douter de moi et de ma sincérité envers elle.

Je suis resté assis, les mains croisés regardant le vide qui se présentait sous mes yeux.

Lorsque le calme est revenu, je me suis levé du canapé. Je suis monté en haut puis arrive au seuil de la porte de notre chambre, en appuyant sur le poignets de porte, je remarque qu'elle a fermé la porte à clé.

« Paloma : Va t'en . Je veux pas te voir, dit-elle de sa voix larmoyante.»

Je n'ai rien dit et il était préférable que je ne dise rien pour éviter une seconde crise de sa part. J'ai simplement respecter son choix.

Je suis redescendu en bas, plus précisément dans mon bureau. J'ai ouvert le dernier tiroir pour me disposer de mon arme que j'ai enfuie dans l'arrière de mon pantalon.
J'ai également pris le reste de mes affaires et ait claqué la porte de la maison.

Brianna.

Il détache ses lèvres des miennes pour après les glisser contre ma poitrine et s'amuser à descendre encore plus bas quand à ce même moment quelqu'un vient toquer à ma porte.

« André : Fait pas attention me dit-il entre chaque baisers.»

Je l'écoute et ferme les yeux pour profiter de ce moment mais la personne insiste beaucoup, en tapant cette fois-ci comme un fou.
Je pousse André qui se trouvait au-dessus de moi et attrape son tee-shirt qui traînait par terre. Je me faufile dans les couloirs et cours ouvrir la porte avant que les coups ne réveilles ma fille.

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant