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Paloma.

01Heure24.

La main sur la poignée de porte, je me préparais à l'ouvrir mais une personne m'a devancé en l'ouvrant grandement. Nous nous sommes regardés un très long moment, dans le blanc des yeux sans rien se dire.

Puis cette même personne s'est mise à m'observer de haut en bas et lâcha un cri de stupéfaction après avoir aperçu l'état dans lequel je me trouvais. Cette même personne s'est approché de moi pour me prendre la main mais j'ai vite refusé son geste en plaçant mes mains à l'arrière de mon dos.

J'entre sans plus attendre à l'intérieur du domicile et monte les marches des escaliers pour rejoindre ma chambre. Au même moment, alors que j'essayais de lui échapper, lui, se tenait derrière moi tout en m'interpellant par mon prénom pour que je m'arrête.

Mais voyant que je ne lui prêtais aucune intention, il m'a attrapé par la taille en me tirant jusqu'à lui. Je me suis retrouvé en quelque seconde près et contre son torse.

« Paloma : Lâche-moi! criai-je, lâche-moi!»

De mes deux mains j'essayais de le repousser, de m'éloigner de lui, de son emprise. Je bougeais et gigotais dans tous les sens, on aurait dit une hystérique, je gesticulais afin de me débarrasser de lui pour qu'il me laisse car je n'avais aucune envie de le sentir contre moi. Encore moins après ce que j'ai vue et entendu de lui.

« Paloma : Tu me dégoûtes! Je veux plus te voir! Je ne veux plus que tu me touches!»

Je criais tel une folle venant tout droit d'un asile de fou.

Et c'était le cas de le dire.
Mon état actuel le montrait parfaitement.

Alors que je braillais, lui de son côté me parlait très calmement. Il essayait de me calmer, d'apaiser cette rancoeur que je tenais au fond de mon cœur.

Car oui, un sentiment de déception me colle à la peau depuis cette photo. Cette image les voyant tout les deux, face à face, près de l'un de l'autre...

« Paloma : J'te déteste! Ne me touche pas!»

De mes deux mains, tachés de sang je lui donnais des coups aux torses pour me dégager de son emprise.

« Leonidas : Tu auras beau continuer de me crier dessus, me taper en pensant me blesser mais sache que je ne te lâcherais pas Paloma.»

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant