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Paloma.

Après avoir traversé le route j'entre sans plus tarder à l'intérieur du diner et ferme mon parapluie une fois entrée. Je retire ma capuche et balaye le restaurant à la recherche de l'homme avec qui j'avais rendez-vous aujourd'hui.

Ma défunte mère aurait des dettes qu'elle devait payer il y a bien longtemps mais la cause de sa mort on fait que je me devais de m'occuper de toutes ces affaires. Je n'ai malheureusement pas eu assez d'information à sujet c'est la raison pour lequel je me suis déplacée spécialement pour cette paperasse.

Je n'avais d'ailleurs aucune envie de mettre les pieds hors de la maison. Il fait gris, la pluie et présente sans oublier le froid qui va avec.

Je m'assied sur l'une des tables vide au fond du restaurant puis me débarrasse de mes petites affaires qui m'encombraient.

Une jeune demoiselle est toute suite venue à moi pour prendre ma commande.

Je n'avais pas spécialement faim c'est pourquoi je n'ai commande qu'un cappuccino qui pourrait me réchauffer le corps.

Elle est revenue au bout de cinq minutes et m'a servi ma boisson chaude. Alors qu'elle partait un homme s'approche de notre table et d'un signe de tête elle s'en va très apeuré.   

Je redresse mon regard suite à cette scène et le voit prendre place à la même table que moi accompagné d'un autre homme.

Ils étaient tout les deux typé noir, grand, tatoué et costaud.

« Inconnu : N'essaie surtout pas de lever ton cul de cette chaise..un simple conseil.»

Sa voix m'a de suite refroidi.

Elle est grave, je dirais même qu'il avait la voix rauque. Déjà que physiquement il fait froid dans le dos mais sa voix fait encore plus peur. Je l'ai discrètement analyser de haut en bas.

A première vue ce mec portait des vêtement assez chère que je ne pourrais pas me payer à l'heure actuelle. Il était proprement habillé à base de jean, un tee-shirt basique. Ces mains étaient vêtu de bagues et sur son poignet se dressait une montre. Une Rolex à vue d'œil. 

« Paloma : J'ai rendez-vou-

Inconnu : C'est moi ton rendez-vous. Désolé de te décevoir mais tu t'es fait roulée dans la farine.»

Je fronce alors les sourcils à l'entente de sa phrase.

Je me demandais pourquoi moi et que me voulait-il. Je m'interrogeais aussi sur le fait de comment est-ce qu'il a pu s'approprier mon numéro de téléphone portable.

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant