Bonus 3 - À cœur ouvert.

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Point de vue de Mia.





24 Décembre 2027.

Comment vont tes enfants ? Me questionne, amusé Jax, le cardiologue du Mary Hospital.

J'inspire un grand coup, sourire aux lèvres.

Il n'ont pas encore fait de bêtises aujourd'hui... Mais.. Ça ne devrait pas tarder.

Il rigole avant de se faire biper, quittant aussitôt la salle de pause des titulaires. Une fois seule, je ne peux m'empêcher de penser à ce que Jax a dit. Je n'ai pas eu de leurs nouvelles, chose qui n'arrive presque jamais. Vérifiant mes notifications, je constate l'heure.

17h30.

Merde ! Déjà !

Immédiatement je quitte la salle, emportant avec moi une tasse de café. Je carbure qu'à ça à présent, envient l'université et mes chocolat chaud. Nous regrettons les choses qu'en nous réalisons que nous sommes passé à cotés.

Avec mes gardes de plus de 35h, voir plus si Evy tombe sur un cas intéressant, elle a pris l'habitude de me biper immédiatement, comme je fais de même pour elle.

Nos grasse matinées jusqu'à 11 heures me manquent parfois, même si je n'échangerais pour rien au monde mon métier.

Elle est devenue titulaire en gynécologie, me rendant d'autant plus fière d'elle, quant à moi, je me suis spécialisé en pédopsychiatrie.

Après qu'Alexander m'ait absolument tout raconté sur son passé, sur les choses horribles que son enfoiré de père leur a fait subir, il était clair pour moi, comme une évidence, que je voulais aider les enfants à s'en sortir.

Alexander aurait dû être suivi par une psychologue, beaucoup de choses auraient été différente pour lui, il aurait surement eu une meilleure vie. Rectification, il aurait simplement du avoir un père aimant, ce que tous enfant mérite.

Je parcours les couloirs de l'hôpital, le deuxième endroit où je me sens le mieux, le premier étant être avec ma famille. Les bruits des machines, les moniteurs ont une douce mélodie. L'hôpital est un endroit où on ne s'ennuie jamais. Tout bouge à une vitesse montreuse, et je me rappel étant interne, je restais parfois immobile dans les urgences est observé les titulaires en pleine action, sauvant des vies.

C'était majestueux, incroyable.

Bonsoir Docteur, votre patient vous attend déjà dans votre bureau. M'informe une infirmière de mon service.

Je lui souris avant de la remercier, tout en me dirigeant vers mon bureau.

Alors? Comment va mon patient préféré ? J'annonce.

Je le contourne, me dirigeant derrière mon bureau, déposant un gobelet contenant du chocolat chaud sur celui ci, le poussant devant ses yeux qui se lèvent au ciel avant de me répondre amusé :

— Je suis sûr que vous dites ça, à tous vos patients.

— Évidemment qu'est ce que tu crois ? Je rétorque immédiatement, lui offrant un clin d'œil, m'asseyant sur mon fauteuil en face de lui, ce qui lui vaut un sourire en retour.

Comment s'est passée votre semaine Docteur ? Il me sourit charmeur, me rappelant mes années universitaires, la façon dont Max se comportait est exactement la même que celle de mon patient.

D'ailleurs, ça n'a pas changé, Maximax se comporte toujours comme ça.

C'est plutôt à moi de te poser la question, Matt.

STRONGOù les histoires vivent. Découvrez maintenant