"- Stop. What the hell are you talking about ?" Billie Eilish, Therefore I Am
Salut à toi !
Après les Headcanon, préférence voici les one shot/imagif/OS.
Tu connais sûrement déjà le principe. Des histoires où tu as des histoires (T/p) avec tes perso...
partie 2 (Noa_Drowned en espérant que ça te plaise)
Cette journée s'annoncer long.
Quand ce fut le lendemain à la première sonnerie (T/p) regarda vers le casier de Billy, il était en train de parler à ses amis sans même la regarder puis il partie en direction de son cours.
Elle regarda passer à côté sans même qui ne lui adresse un regard. Elle voulait qu'il la laisse ? Soit. Il marche la tête haute pleine d'assurance le visage ne laissant aucune émotion transparaitre. Elle perdit son sourire qui était apparu en le voyant venir quand il l'avait ignoré. Elle même doutait de son existence à ce moment.
- (T/n) ? Miss (T/N) ? Dit la professeure d'histoire en attente de réponse désespéré.
Elle sortie des ses pensés arrêtant de fixer un point. Quand elle avait voulu dormir hier elle n'avait fait qu'à réfléchir à propos de Billy. Et son ignorance de se matin l'avait fait tout remettre en question. C'était ce qu'il ressentait chaque jour ? C'était si blessant, touchant non seulement son égo mais aussi en doute son existence quand la personne que tu aimes ne te calculs plus, que la personne qui te fait sentir vivante ne t'adresse même plus un regard.
Elle posa sa main sur son visage en s'excusant vaguement.
- Il faut dormir la nuit, répond la professeure, la salle de classe n'est pas un lieu pour dormir, votre lit en revanche si. Veuillez maintenant ouvrir votre livre à la page que j'avais indiqué.
Elle se tourna de nouveau vers le tableau pendant que l'élève leva les yeux au ciel et regarda discrètement sur son voisin la page demandé.
Cette journée était définitivement interminable. Elle ne faisait que se torturer l'esprit, n'écoutant rien. A la pose et à midi elle regardait Billy dans l'attente désespéré qu'il vienne. Mais rien. Il ne la regardait même pas, tout comme ce matin. Il a fallut attendre l'ignorance pour qu'elle comprenne qu'elle tenait à ses discussions, ses flirts, ses regards, sa personne. En seulement une nuit il avait était la source de chacune de ses pensés, et lui vivait comme si toutes leurs discussions n'avait jamais eu lieu. Comme deux inconnus.
Cette journée bien merdique était en fin achevé après la dernière sonnerie. Elle se précipita à ranger ses affaires et sortir. Elle fit le tour des couloirs mais ne croisa pas celui qu'elle cherchait. Il attendait sa sœur Max en étant adossé à sa voiture. Il regardait les gens sortirent pour trouver la rouquine. Mais au lieu de voir sa "non sœur" il vit (T/p) sortir. Elle était seule contrairement à d'habitude où elle est en compagnie de ses amis.
Elle balaya le parking du regard. Quand elle le vit, seul, elle commença à se diriger vers lui.
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- Tu l'as invité ? Demande Max à hauteur de la voiture en regardant la lycéenne arriver vers eux.
- Occupe toi de ton cul. Répond il en tournant un peu la tête.
Il entre dans la voiture et mit ses lunettes de soleil. Il tourne sa tête vers sa sœur. Il lance l'autoradio en claqua des mains avant de démarrer le moteur.
- Billy attend ! Crit la lycéenne décidé à finir cette journée mieux qu'elle n'avait commencé.
Il l'avait très bien entendu. Tourna sa tête vers la fenêtre la salua d'un mouvement de tête et accéléra d'un coup faisant lancé un juron de surprise à (T/p).
- T'es complétement malade ! Hurle Max.
Billy continua de chanter en hurlant et en roulant bien trop vite. Elle se contente de s'enfoncer dans le siège passager. Il pouvait se montrer si con mais le pire était hier soir. Claquer les porters, hurler pour un rien. Il était effrayant.
- Billy c'est pour toi, dit la mère de Max au téléphone fixe.
- C'est qui ? Hurle t il de sa chambre.
- Une certaine (T/p) (T/n).
Il s'arrête à faire son exercice et se lève l'air troublé. Elle l'appelle ? Elle ? Après la journée où il a était un vrai connard ? Il prit le téléphone en croisant les bras.
Allô ?
Qu'est ce que tu me veux ?
Pourquoi la veille tu me dis de belle parole, tu me dis que veux vraiment être avec moi et le lendemain tu m'ignores ?
Tu voulais être tranquille, alors je t'ai laissé.
Elle ria légèrement un peu gêné et fatigué. C'était hier. Et j'ai réfléchi.
Il a fallut que je te laisse tranquille toute une journée pour que tu réfléchisses à notre relation ?
Non. Mais aujourd'hui j'ai compris que tu me manquais.
C'est tout ?
Et je t'aime peut-être plus que je ne le pensais.
Je crois que ça coupe j'ai pas compris.
Je t'aime.
A ces trois mots il sourit au téléphone.
Moi aussi je m'aime.
Billy ! Je suis sérieuse putain !
Moi aussi. Et je t'aime aussi. chuchote-t-il au téléphone.
On se voit demain.
Non attend !
Le téléphone bipe la fin de l'appelle. Il le reposa avec violence. Il reparti dans sa chambre partagé entre plein de sentiment. Heureux qu'elle aime, frustré par cette conversation fini ainsi. Au lycée Il l'a rejoint au casier main dans les poches sourire en coin.
- Alors comme ça on m'aime ?
- Et tu serais un cœur prit, répond elle en fermant faisant son sac.
- Mes sentiments pour toi ne sont pas nouveau.
Elle se tourne de demi vers lui.
- Alors on est quoi maintenant ?
- Si tu acceptes d'être ma petite amie ça sera un honneur ma belle.
Elle l'embrassa rapidement sur les lèvres avant de se retourner vers son casier pour le fermer. Il se mit à sourire victorieux, heureux et amoureux. Qu'est ce qu'elle était belle.
- Je savais pas que t'avais el numéro de chez moi.
- J'ai mes sources mon chère.
Elle sourit en lui prenant la main.
- Tu devrais remercier ta sœur.
- Ce n'est pas ma sœur ! Nie t'il la faisant sourir amusé.
