Le Scarifieur

Léo et Vénus 8

Je la doigtais doucement pour commencer, une main sur son pubis. Elle était lisse, pas un poil ne dépassait ...ses lèvres gonflées appelaient à la luxure... comme la chienne qu'elle était d'ailleurs.....la pointe de ses seins s'érigeait droite, dressée sur une jolie poitrine bien ronde, bien galbée, naturelle....elle n'attendait qu'une chose, que je m'occupe d'elle, de sa chatte, elle était impatiente, avait l'autorisation de son Maître, elle pouvait donc me montrer qu'elle acceptait mes caresses.

"Prend ton temps Dominic, dans ces moments là il ne faut rien précipiter, tourne tes doigts dans son fourreau, caresse l'intérieur, regarde la comme elle est belle quand elle est en chaleur, un bel animal à apprivoiser, tu ne trouves pas".

Je relevais la tête pour la regarder, c'est vrai qu'elle était belle....je lui ai souri puis j'ai penché ma tête, me suis approché de son sexe sur lequel j'ai donné un grand coup de langue, ses fluides avaient un petit gout salé très agréable, son odeur faisait penser aux marées, je me souviens qu'elle sentait très bon. Elle a tressaillit, ondulée sur la table, tentée d'approcher sa vulve de ma bouche.

"Vénus on se calme, sinon il va y avoir punition et tu sais ce qui va se passer"

La voix de Léo était trop doucereuse pour être honnête et ses yeux reflétaient une froideur que je ne lui connaissait pas....il était sérieux, ce n'était pas un jeu entre eux du moins à ce moment. Il me l'offrait mais il voulait me faire comprendre que tout ce qui concernait ce monde pouvait ne pas être toujours ludique...il y avait les moments divertissants ça oui mais aussi les moments où la soumise devait obéir au moindre claquement de doigts....ses muscles tremblaient sous mes mains posées sur ses cuisses montrant l'impatience qui circulait dans son corps...elle était au summum de son excitation mais retenait celle ci n'ayant pas reçue l'ordre de jouir.

Ma langue titilla timidement son clitoris sortit de son capuchon, ce petit bout de sexe s'exhibait fièrement attendant que je le croque, le gout de sa cyprine sur mes lèvres me donna envie d'aller plus loin. Je réintroduisis mes doigts, les promenait sur les parois très lubrifiées de son vagin quand d'un coup elle poussa un long gémissement.

"Là tu viens de toucher un point sensible chez la femme, on appelle cela le point G, le point G vois tu est très spécial car quand tu le caresses il multiplie les sensations, c'est une zone très érogène, si tu continue à la caresser ainsi il va lui devenir presque impossible de ne pas jouir".

Vénus se tortilla en poussant de petites plaintes, j'arrêtais donc de la stimuler pour ne pas la faire désobéir, écrasait ma bouche contre son sexe et aspirais sa mouille, j'en profitais pour mordiller son clitoris, elle miaula. Jamais de ma vie  je n'avais entendu de son plus beau, et plus sexy.

"Eh bien Dominic tu me surprends, à croire que tu as fais cela toute ta jeune vie, tu apprends vite, ma petite chienne apprécie"

J'ai continué à jouer de ma langue sur ses plis trempés, l'ai introduite dans son vagin, promenée sur ses bords boursouflés, plus ses jus s'écoulaient, plus cela m'excitait.

Je ne pensais plus à rien, j'ai forcé sur ses cuisses, elle se trémoussait cherchant à me faire aller plus vite, elle essayait d'amener son sexe plus au contact de mes lèvres quand Léo s'approcha d'elle.

"Doucement Vénus, il est novice,  rappelles toi, il faut qu'il apprenne les sensations que ressent le corps d'une femme dans ces moment là, ne sois pas égoïste, pense à lui".

"Pardon Maître"

La main de son Maître caressa sa peau couverte d'une fine pellicule de sueur, ses cheveux collaient à son front, cela devait faire des heures qu'elle était sous notre coupe. L'homme que j'avais vu fouetter durement cette femme savait se montrer tendre, il s'était penché au dessus d'elle et la regardait avec vénération.

Je me suis promis ce jour  là de chercher et de trouver celle qui me servirait avec autant d'adoration.