Il vit un petit sourire fleurir sur ses lèvres. Il était discret, juste un petit étirement vite fait qu'elle réprima aussitôt mais qui ne lui échappa pas. Il l'observait en permanence, découvrait chacun de ses gestes, chacune de ses grimaces ou de ses expressions, il savait quand elle allait vous sortir une de ses bêtises, il savait quand elle avait mal, quand elle souffrait dans sa peau comme plus tôt dans la douche. Il l'avait vu déglutir avec difficulté, s'étouffer avec son sperme, il avait vu son corps se tordre sous la douleur de la pénétration, il avait vu ses larmes. Il en avait retiré une satisfaction intense de la voir ainsi, certainement arrivée au bout d'une limite qu'elle ne connaissait pas et dont elle n'avait pas conscience mais qu'elle avait acceptée de franchir. Pourquoi l'avait elle fait ? Pourquoi avait elle acceptée l'humiliation qu'il lui avait fait endurer ? Tout simplement parce que inconsciemment elle acceptait cette état de soumission qui était en elle. Il était plus que persuadé qu'elle accepterait plus, encore plus, toujours plus. Qu'il avait trouvé la face manquante de sa médaille. Qu'elle allait le compléter. Sans se l'avouer, cachée au plus profond de son corps, brillait une petite lumière qui ne demandait qu'à être révélée, enfouie sous les diktats d'une société qui vous écrasait de ses bons principes. C'était là. Ça attendait son heure pour sortir, pour offrir à celui qui en serait digne cette part d'elle même qu'elle n'avait jamais montré et qui ne se serait jamais révélée si elle n'avait pas été mise en avant ce jour là. Il aimait jouer avec son corps, la voir entre deux contradictions, refuser, accepter, avancer, reculer, rejeter une fois pour toute qu'une petite salope vivait en retrait d'elle. Elle s'ouvrait avec embarras, elle s'offrait avec réticence, tout n'était qu'hésitation, pour qu'au final tout ne soit que consentement. Il poursuivait son travail d'éducation seulement parce qu'il sentait que c'était ce qu'elle voulait. Il allait faire de Perle une soumise accomplie mais aussi une jeune femme bien dans sa peau et fière de ce qu'elle était. Il avait déjà son nom de soumise mais ne lui donnerait que quand elle serait prête. Bien sur qu'il allait faire des surpris, elle n'était pas du tout son type de femme, de plus elle ne connaissait rien à ce monde, lui qui n'avait jamais oeuvré que dans des cercles fermés sachant ce que cela pouvait provoquer dans une situation telle que la sienne. Elle avait été correcte, d'autres auraient envoyé les vidéos sur les réseaux sociaux et s'en aurait été finit de lui. Il avait vu ce qu'il advenait aux hommes qui entretenaient des relations diront nous déviantes, ça n'était jamais bon dans les affaires. C'est pour cela qu'il travaillait depuis des années en s'entourant uniquement de personnes évoluant dans le même milieu que lui et jusqu'à ce jour, cela lui avait réussit. Son souci actuel était de retrouver le type qui avait vendu la jeune femme et le mettre en situation de ne pas pouvoir divulguer où il avait eu tout cet argent et éventuellement récupérer son dû acquit malhonnêtement. Il avait une petite idée pour ça. Mais pour l'heure, une petite soumise dévergondée avait l'air de se moquer, de trouver la situation rigolote.
"Je peux savoir ce qui te fait sourire"?
Ses mains sur sa nuque exercèrent une légère pression, suffisamment dosée pour lui faire comprendre qu'il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin. Elle n'était pas en position de se défendre mais curieusement elle n'avait pas peur. Elle le craignait, terriblement, se demandant toujours ce qu'il allait encore inventer pour la faire trembler, la faire mouiller, car pour mouiller, elle mouillait, cet homme ouvrait les vannes de son corps à chaque fois qu'il ouvrait la bouche. Elle osa répondre.
"Vous m'asticotez Monsieur, pour savoir si je vais encore faire une boulette"?
"Tu penses que je pourrais te pousser consciemment à faire cette boulette comme tu dis"?
"Oui Monsieur, je pense que vous en êtes capable, rien que pour me punir".
Elle ne bougeait pas, ne faisait rien pour se dégager, restait soumise à son emprise.

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Le Scarifieur
रोमांसDominic n'a pas de soumise à lui mais est réputé dans leur milieu pour les punitions au fouet.... Elles n'ont pas été sages, leurs Maîtres les lui confient pour qu'elles filent droit..... Mais arrivera un soir où il la découvrira