Chapitre 24

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Par la suite, il m'a soulevé et m'a déposé sur le lit.

John: J'aimerais qu'on procède autrement ce soir.

J'ai sourcillé , que voulait-il dire par là ?
Comme s'il avait lu dans mes pensées, il a répondu directement.

___ Je vais te faire l'amour, sans que tu n'ais le droit de me toucher.

Quoi ?

Je me suis révoltée aussitôt.

Moi: C'est pas juste ! Comment pourrais-je....

John: N'oublie pas ce qu'on s'est dit !

Le salaud.

Il savait pertinemment bien ce qu'il faisait.

Moi: D'accord mais je te promets de te rendre la pareille.

Il a souri.

John: Si tu parviens à le faire, tu auras une surprise.

Ses yeux étaient étincelants.

Moi: Une surprise ?

Demandé-je d'un air confus.

John: Comme tu l'as entendu. Je n'ai qu'une parole trésor !

Moi: Ça marche !

J'avais hâte de voir ce qu'il allait m'offrir mais en même temps, je me demandais si j'allais pouvoir tenir.

L'instant d'après, il s'est mis à déposer des baisers sur ma peau nue en allant le plus lentement possible. C'était un vrai supplice.

Moi: Ai-je au moins le droit de parler ?

John: Ça dépend de ce que tu souhaites me dire.

Moi: Si je veux aborder la scène qui s'est déroulée en journée...ahhhhh .....

Il venait de mordre délicatement ma fesse en laissant une chaleur torride. J'ai soulevé le bassin légèrement cherchant à l'esquiver. Voyant cela, il m'a bloqué et s'est focalisé sur la ligne qui allait de mon nombril à mon sexe.

Moi: Tu ne veux pas qu'on en discute ?

John: Il n'ya rien à dire, la seule chose que tu dois retenir est que je serais prêt à détruire toute personne qui essaiera de te faire du mal.

J'ai ressenti des frissons quand il a dit cela et je me suis mise ensuite à chercher son regard.

Était-il sérieux ? Cela faisait-il toujours partie du jeu ?

Moi: Comme ma belle-mère ?

John: Et tout ceux qui seront stupides d'agir de la sorte.

Moi: Tu veux me protéger ?

Je n'arrivais pas à croire qu'il puisse dire cela.

John: Oui, je t'ai fait la promesse et je vais la respecter.

Dit-il de sa voix suave.

Il s'est levé ensuite et s'est mis à se déshabiller en maintenant le contact visuel. Cette connexion a créé une décharge sur tout mon corps.

Moi: Tu as l'air si..... excité !

Dis-je en posant mon regard sur son sexe qui se dessinait de manière précise à travers son boxer.

John: J'ai pensé à toi toute la journée !

Moi: À moi ou à ce que tu allais me faire ?

Demandé-je en affichant un sourire lourd de sens.

John: Les deux.

Moi: Qu'est-ce qui t'est venu à l'esprit ?

John: J'ai attendu que la journée s'achève pour goûter à tes lèvres à nouveau. J'ai pensé à la personne intrépide que tu es.

Il a dit cela, en baisant son boxer révélant sa queue dure comme un piquet.

___ Ceci c'est pour toi !

Mon coeur s'est affolé.  Il me déclarait ouvertement ce qu'il s'apprêtait à me dire. Je salivais d'avance.

Lorsqu'il s'est positionné au-dessus de moi, il a écarté mes jambes et s'est mis ensuite à jouer avec les lèvres de mon vagin en introduisant deux de ses doigts dans mon sexe.

Il me suçait et me faisait mouiller de manière inimaginable.

Moi: Je peux te toucher ?

Je mourrais d'envie de le faire. Comment rester inerte face à autant de désir ?

John: Si tu le fais, tu n'auras pas droit à ta surprise.

Il contrôlais le jeu et trouvait un malin plaisir à le faire. Au bout du compte, j'ai laissé tomber.

*
*

Quand il a déposé sa queue à l'entrée de mon sexe, je me suis mise à imaginer les différents mouvements qu'il allait effectuer lorsqu'elle sera introduite en moi.

Il est entré lentement, en prenant soin de me regarder droit dans les yeux. J'avais envie qu'il soit ois rapide , je voulais bouger pour accélérer la cadence mais si je le faisais il allait crier victoire. Ne voulant pas renoncer en premier, j'ai supporté en fermant les yeux dans l'attente du moment ultime.

L'instant d'après, il a introduit tout son sexe d'un coup sec qui m'a fait poussé un cri de plaisir.

John: Je vais te baiser maintenant !

J'ai éprouvé un tumulte d'émotions au même instant.

Moi: Ne te retiens pas.

J'avais envie de lui , c'était indéniable. Ce sentiment d'extase auquel on ne pouvait pas lutter. Il l'avait su, c'est pourquoi il s'est appliqué pour me procurer une expérience inoubliable de telle enseigne que je ne sois pas en mesure de l'oublier s'il advienne qu'on se sépare un jour.

Comme je l'ai pensé tout à l'heure, il contrôlait tout et était l'unique maître du jeu. À moi d'accommoder ou de m'enfuir le plus rapidement possible.

La question que je me posais à l'instant était : Est-ce que je désirais briser tout ?

Obligation Immorale Où les histoires vivent. Découvrez maintenant