Chapitre 42. Anonymous.

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"Je te protégerai aussi, mon frère"

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Je me rends à l'adresse indiquée. C'est dans un grand entrepôt. Il doit être vingt heures et il y a au moins dix personnes dont une qui est assise sur une grande chaise. Il est grand et plutôt bien foutu. Cheveux brun et yeux noisette. Il a un beau visage et une carrure de tueur mais il ne m'impressionne pas du tout et en plus de ça, il doit avoir dans la trentaine ce branleur.

Je m'avance vers lui, d'un pas assurer. Je m'arrête et il me regarde de haut en bas avec un petit sourire. Ouais allez mate bien avant d'avoir des bleus sur les yeux.

- Bonsoir, vous devez être mademoiselle Jenner's.

- À ton avis c'est le père Noël qui est venu te donner ta raclée ? Dis-je agacer.

Les mecs autours se mettent à rire. Je soupire et dis.

- Où est-elle ?

- Qui donc ?

- Arrête de te foutre de ma gueule et montre-moi la gamine.

- La petite va bien.

- Soit, tu me la montres ou soit je me casse d'ici petit con.

Sur le coup il ne dit rien, mais sa mâchoire se crispe. Je ne suis pas venu ici pour faire la discussion merde alors ! Mon mec m'attend et ne se doute pas du tout que je suis ici, si il l'apprend il les tues tous et moi y compris.

Le branleur fait un signe de la main à ses hommes. Puis je la vois, Maude. Merde ! Ils ont couper ses cheveux courts et elle semble n'avoir rien manger.

Ils l'emmènent avec le branleur toujours assis sur sa chaise de branleur. Il la porte et la fais assoir sur sa cuisse.

- Maude, regarde qui est venu te voir.

Elle lève les yeux vers moi et son visage s'illumine.

- Tante Anastasia...

- Ne t'inquiète pas Maude, je fracasse ce petit branleur et on rentre.

Maude sourit et commence à dire quelque chose mais le petit con l'attrape par la nuque pour qu'elle se taise. Je sers les poings et me crispe. Je vais lui casser sa jolie petite gueule à se branleur !

- Mets-toi en position de combat qu'on en finisse ! Dis-je sèchement.

Il se lève et s'avance vers moi. Je recule un peu et il me dit.

- Interdiction d'utiliser des armes, juste le corps... Enfin si tu sais faire autre chose avec ton corps que baiser comme une petit sauvage.

- Tu seras surpris petit con.

- T'as pas froid aux yeux toi, j'ai hâte de te battre et de te baiser comme un chien chérie.

- Faudrait d'abord que tu me battes, "chéri".

- Ne dis pas ça, ça me donne encore plus envie de me battre.

- Amène-toi.

Il sourit et vient vers moi. Il essaie de m'attraper mais je l'évite. Je lui donne un coup de pied retourner qui atterrit direct sur sa gueule. Il gémit et se tient son nez qui saigne en abondance. Il me fusille du regard. Enfin il va se battre sérieusement !

MAYBE FOR LIFE (Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant