Flemme flâne, flânant dehors
Peine plane plane en mon corpsJe te veux,
Vœu
De notre essor :
Ton désir en plus !Quelle cale, calme fraîcheur,
Scelle salle, salon d'honneur ?Les chansons
Sont
De ces bonheurs
Que je n'entends plus !Mêle mâles, mal en patience
Sel sale, s'alliant confianceJe t'admire,
Myrrhe
Est mon essence !
Je ne la sens plus.L'âme l'aime, l'aimant d'honneur
Flash, flèche ; fléchit mon cœur.Au grand mat
Ma
Lune est vigueur.
Je ne le voit plus !Vole voile, voilant le jour,
Vogue vague, vagues séjoursEnchanter
Tes
Perles d'amour
Je ne le fais plus !Longue langue, langueur du soir
Longe l'ange, lange d'espoir.Horizons
Sont
Dans le brouillard ;
Ne se montrent plus.Rage ronge, rongeons la cage !
Page plonge, plongeons si sage.Littoral
Râle
Après l'orage ;
Ne se voile plus.Sages songes, songez mirages !
L'âge longe, long jet propage...Frissonner
N'est
Plus mon usage.
Je ne le sais plus.Rage range, rangeons les sorts.
Mage mange, mangeons les tors.Être là,
Las,
Sentir ton corps,
Que je n'en puisse plus !Somme sème, s'aimer ce jour
Sonne, saine scène d'amour ;Se bercer
C'est
Bien sûr toujours
Ce dont je veux plus !
VOUS LISEZ
Hauts ébats... et heurts pourpres
PoezieUNE POÉSIE INCARNÉE : Un cœur de chair et de sang en image de fond ; le mien, le vôtre, le leur... et un titre à entendre d'autant de façons qu'ils pourraient s'écrire : Hauts ébats et heurts pourpres ; Hauts et bas, et heures pourpres ; Ose et ba...