Ah, « le dormeur du val » ;
Celui dont le lecteur
Comprenant en aval
Qu'était venue son heure...Est-il gai ? Est-il sombre,
Ce glorieux semeur
De fleurs et de leur ombre ?
Lui, qui n'a plus de peur...Sait-il qu'en son silence,
Se proclame son cri ?
Et sa funeste vengeance,
Ecorche mon espritDes naïves rêveries ?
Pleurant sur leur candeur,
Je sens mon flanc meurtri
Se vidant de chaleur.Ah, le dormeur du val,
Gisant en son sommeil
Oubliant qu'il eu mal ;
Renonce à son éveil.Serait-Je celui là ?
Détresse en rouge et blanc,
Épuisé, vidé, las,
Quand mon sang se répand ?Léo
@LeoMerelFelinsky
Hommage à Raimlbaud
« Détresse en rouge et blanc«
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Hauts ébats... et heurts pourpres
PoesíaUNE POÉSIE INCARNÉE : Un cœur de chair et de sang en image de fond ; le mien, le vôtre, le leur... et un titre à entendre d'autant de façons qu'ils pourraient s'écrire : Hauts ébats et heurts pourpres ; Hauts et bas, et heures pourpres ; Ose et ba...