Quand au soleil, ils se doraient,
Je trimais jusqu'à en pleurer.
Je leur donnais ce que j'avais.
Ils recherchaient faveurs sucréesMais quand plus que je ne pouvais,
Qu'encore plus ils ont exigé,
Je ne su plus où je pourrais
Ici ou là aller grater.La vérité je leur disais,
Contrevenant à leur pensée.
D'espoirs déçus ils m'accablaient.
Un coupable il fallait trouver.L'un après l'autre ils me lâchaient
Alors le vent vint à tourner.
Seul ! Je serai seul désormais,
Abandonné et piétiné.Je ne suis plus ce que j'étais.
Au fond d'un puit l'on m'a jeté.
Sans sens, plus rien je ne donnais.
Et là mon cœur s'est putréfié.
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Hauts ébats... et heurts pourpres
PoesíaUNE POÉSIE INCARNÉE : Un cœur de chair et de sang en image de fond ; le mien, le vôtre, le leur... et un titre à entendre d'autant de façons qu'ils pourraient s'écrire : Hauts ébats et heurts pourpres ; Hauts et bas, et heures pourpres ; Ose et ba...