Passion Inassouvie [ Terminé ]

14- Pertinentes Questions...

" Interrogatoire "

Prisca Dangote

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Lucas : Où habitez vous avant ?
J'ai dû mal à croire qu'on puisse bronzer aussi bien sous les cieux anglais.

Karl : ton désapprobateur  Eh Lucas ! Tu te crois au palais de justice !
N'aboie pas après elle.

Lucas : soupir d'un victime  C'est une question sensée et je n'aboyais pas.
D'ailleurs je n'aboie jamais.

- mettant fin aux taquineries des deux mecs  J'habitais en Italie jusqu'à la mort de mon époux.

Helen : Prisca y possède une résidence secondaire qui surplombe l'Adriatique.

Je vois une lueur moqueuse scintiller dans ses yeux et je pris le ciel pour qu'il ne fasse aucun commentaire.

Or il ne peut évidemment pas s'en empêcher d'intervenir.

Lucas : il hoche la tête en soupirant  Comme la vie est dure pour les riches.

Karl : Ah, tu le dis toi même ! Tu es l'heureux propriétaire d'un magnifique voilier capable d'affronter des océans déchaînés, et d'une très belle maison en plein coeur de Londres. Sans parler de cet appartement à Corfou !

Lucas : esquissant un sourire  j'ai gagné mon argent à la sueur de mon front.

L'attaque est très cinglante. Puisque que j'ai épousé un homme riche, je suis une femme cupide et sans morale.
- D'un ton calme mais ferme    Tandis que moi, j'ai hérité de mon mari. Je suis désolé que cela te cause un problème.

Lucas : la regardant droit dans les yeux  Ça ne me pose aucun problème, Prisca.
Sourire hypocrite  Je suis sûr que tu aimes profondément ton mari.

Quelle habile !
Mon Dieu ! Personne ne peut soupçonner qu'il met en cause la sincérité de mes sentiment envers Kamdem.

Alex : Au fait, pourquoi un Italien ?

- j'ai rencontrer mon époux par le biais de ma famille.
J'ai moi même un quart de sang italien.

Lucas : dun ton suave  Très intéressant !
Je me représente les Italiens comme un peuple passionné, aux sentiments exacerbés avec un sens extraordinaire de la famille.
Te reconnais tu dans ce portrait, Prisca ?

Bien sur, il à fallu qu'il Vienne ajouter son grain de sel dans la conversation.
Maintenant je suis obligé de lui répondre.

- je pense que oui.
Avec force En cas de problème, je ferais n'importe quoi pour venir en aide à ma famille.

Après tout, nul n'est aussi bien placé que moi pour le savoir.

Lucas : d'un air songeur  Tu feras n'importe ?
Ça paraît plutôt extrême.

- Précisant aussitôt  A condition de ne pas enceindre la loi.

Lucas : sourire ironique  Certaines choses sont criminelles sans pour autant tomber sous le coup de la loi.
Ne pense tu pas que briser le coeur de quelqu'un qui t'a accordé toute sa confiance soit un crime atroce ?

- sans se démonter  C'est difficile à dire. Tout dépend des circonstances.

Alex : hé Lucas !
Tu continue à lui faire passer un interrogatoire.

Lucas : haussant tranquillement les épaules  Mais non, on discute gentiment de choses et bien d'autres.
La fixant d'un air les plus moqueur que jamais  T'ai-je mise mal à l'aise ?

- Pas le moins du monde.

Helen : Prisca, que dis tu d'aller tout de suite dans le bureau pour que nous regardions ensemble les plans de l'hospice ?
Comme ça tu auras tout le week-end pour te détendre.

Je profite de cette occasion pour m'éloigner un peu de Lucas.

- souriante  Très bonne idée.

Helen : sourire malicieux  On vous laisse bavarder tranquillement entre homme.

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