Passion Inassouvie [ Terminé ]

58- Son Corps S'enflamme...

Prisca Dangote

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Lucas : avec douceur Tu ne penses donc pas que ton bonheur puisse être essentiel aux yeux de quelqu'un ?

- elle plisse le front Pourquoi le serait-il ?

Lucas : Parce que les autres peuvent avoir des sentiments aussi forts que les tiens...

- fronçant ses sourcils. Je n'avais jamais pensé à ça.

Il me regarde droit dans les yeux et secoue sa tête.

Lucas : Tu as bon coeur Prisca, mais tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez.

- Eh ! Tu n'as pas le droit de dire ça !

Lucas : Objection refusée ! Mais je n'ai pas envie que l'on se dispute.
Parle moi plutôt de ta vie en continent tropicale...

- crispée Il n'y à rien à dire.

Lucas : il sourit d'un air désolé Mes questions t'ennuient ?

- Un peu.

Lucas : Désolé.
En tout cas, tu viens de m'éclairer sur un aspect important de ta personnalité.
Je sais maintenant que tu ne recule devant aucun sacrifice.
- d'un ton taquin Seulement pour les gens que j'aime.

Lucas : Ne t'inquiète pas.
J'ai bien compris le message.
il la fixe d'un air sévère Je n'aurais jamais droit au même traitement car tu n'as pas de sentiments pour moi.
Notre relation est purement physique.

Je sens ma gorge se nouer.
Dois je lui avouer mes sentiments envers lui ?
Ou alors, continuer de lui mentir ?

- sans ciller C'est vrai. Mais je n'hésiterai pas à t'emmener à l'hôpital si tu étais gravement blessé.

Lucas : Voilà qui est réconfortant !

Je souris légèrement.
Je lui prend la main avant de passer lentement mes doigts sur les lignes de sa paume.

- J'ai des projets.

Lucas : Des projets ?

- Oui. Mais maintenant, assez parlé de moi.
Je veux me concentrer sur toi. Elle pose le plateau par terre près de la porte.

Lucas : il la regarde avec une lueur intrigué dans les yeux Tu as besoin d'aide ?

- elle remonte sur le lit et s'agenouille à côté de lui Non.
J'ai simplement besoin que tu t'allonges et que tu te détendes.

Elle le pousse sur le dos avant de desserrer la ceinture de mon peignoir.

Lucas : il prend une profonde respiration Je ne pense pas pouvoir me détendre.

J'écarte les pans de son peignoir, découvrant son corps bronzé.

- elle se mord la lèvres pour dissimuler un sourire malicieux Aurais-tu deviné mes intentions ? Elle descend lentement les doigts le long de sa gorge, jusqu'à son ventre.

Lucas : la respiration haletante ça s'appelle anticiper. Elle le caresse doucement.

Je sens mon corps s'enflammer en le voyant allongé devant moi, à ma merci.
Après m'être débarrassé de mon propre peignoir, je me penche sur lui et laisse mes doigts et les lèvres courir sur sa poitrine, sur son ventre, jusqu'à ce qu'il gémisse.
Plus je descend plus bas... Mais au moment où j'allais le soumettre à une délicieuse torture, il m'attire à lui.

Lucas : A mon tour.

Il me Fais basculer sur le dos. Ses lèvres glissent lentement sur ma poitrine offerte, s'attardant sur la pointe durcie et sensible de mes seins, je gémie de plaisir m'agrippant au drap et me tendant vers lui, ivre de désir.

Alors que je pense ne pas pouvoir en supporter davantage, sa bouche et se mains s'aventurent jusqu'à mon ventre avant de descendre plus bas encore.
Lorsqu'il glisse une main entre mes cuisses et trouve le chemin de mon intimité, je suis si prête à le recevoir qu'un petit cri étranglé s'échappe de ma gorge.
Il se met à caresser le coeur de ma féminité, attisant mon désir jusqu'à ce que je sombre dans un tourbillon de sensations.
Comme je suis sur le point de crier mon bonheur, il embrasse mon sexe avec une sensualité inouïe, jouant de sa langue et de ses lèvres.
La jouissance explose en moi comme un feu d'artifice.

M respiration devenue normale, je m'aperçois qu'il prend appuis sur ses avant-bras, couvrant mon corps du sien et me contemple.

Lucas : C'est ce que tu avais en tête ? Il effleure ses lèvres d'un baiser.

- doucement Je ne te le dirais pas.

Soudain, il plonge en moi, j'en ai le souffle coupé.
Il commence à bouger très doucement et je sens de nouveau mon corps répondre à cette invitation.
Il me connait si bien... Il sait exactement ce donc j'ai besoin...
il accélère la cadence, emporté par un désir qu'il ne parviens plus à maîtriser, je me donne à lui sans réserve, et nous sommes foudroyés au même moment par un plaisir d'une intensité folle.

Finalement, il se retire en moi et je me love tout contre lui en poussant uns soupir.
Alors, il m'enlace et se met à fixer le plafond, perdu dans ses pensées.

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