50

29.1K 3K 340
                                    




Je tiens déjà à m'excuser pour ma longue absence, mais je passe le bac cette année et j'ai beaucoup de dossier, beaucoup d'entretien à préparer j'ai vraiment très peu de temps et lorsque j'en ai pour être franche, je ne pense pas à aller sur wattpad. Je vais quand même essayer d'être plus régulières dans les suites.


Bonne lecture





50


Après cette soirée, j'ai essayé par tous les moyens possibles d'oublier ce que j'ai vu ce soir-là, mais cet homme, sa ressemblance avec Rahim, j'ai passer des nuits entières à ne pas dormir en me demandant ce que je devais faire, l'oublier ou alors chercher des réponses. Je ne pouvais pas en parler à Inaya, je ne voulais pas qu'elle ai des faux espoirs, la mort de son frère l'à complètement bouleversé. La seul personne à qui je peux poser des questions, c'est Badr, mais encore, il faudrait qu'il accepte de me répondre.

Je l'ai contacté à plusieurs reprise, sans aucune réponse de sa part, il était très occupée, depuis la mort de Rahim, une guerre ouverte était déclarer pour prendre sa place, Rahim Sidy et Hazim étaient officiellement hors jeu, ils laissaient derrière eux un empire valent des millions voir même des milliards de dollars. Savoir que la seule empreinte qu'il avait laisser aux gens avant sa mort était ses affaires illégales me faisait beaucoup de peine.

Peu de personne le connaissait comme moi je le connaissais, il était craint car il était impitoyable et admiré car il était loyale, voilà ce qu'on disait de lui maintenant qu'il était partit.

J'avais comme le sentiment que Badr connaissait la raisons de mes appels, ou alors, il était vraiment occuper, j'avais aussi contacter Souad, elle avait donné naissance à un petit garçon, il s'appelait Kalil, la maternité l'avait assagit, je la trouvais beaucoup plus mature, elle m'a dit qu'il avait des affaires importantes à régler en Suisse, et qu'elle me préviendrait à son retour. Mais avant tout, j'avais quelque chose à faire.








[...]








Ce jour-là il n'y avait pas grand monde au centre, j'ai profité de ma pose déjeuner pour me rendre au restaurant dans lequel nous avons dîner ce soir-là. Un homme était à l'accueil, devant lui, un carnet sûrement le carnet des réservations. Pile ce qu'il me faut.








« - Bonjour, dis-je.

- Bonjour que puis-je faire pour vous ?

- J'aimerais savoir si une personne que je connais à dîner ici vendredi soir.

- Je suis désolée madame, la vie privée de nos clients est très importantes, je ne suis pas en mesure de pouvoir vous donner cette information.«

Résignée je fais demi-tour, puis, je me ravise.


« Je...Je suis désolée, il s'agit de mon mari, dis-je en pleurant, j'ai découvert qu'il avait une maîtresse et qu'il l'emmenait ici. Nous avons des enfants, et je ne peux rien faire tant que je n'ai pas de preuve. Vous comprenez ?

- Oui, je comprend, dit-il mal à l'aise, mais je suis vraiment pas habilité à vous donner ses informations.

- Bien, au revoir.

- Non attendez....Je ne vous ai jamais rien dit d'accord.

- Oui.

- Le nom de votre mari ?

- Rahim ******.

- Il n'y à pas de réservation sur ce nom, vous devez être soulagé.

- Il utilise souvent le nom de son meilleur ami pour ne pas que je puisse le trouver.

Anaya - Le poids des traditions.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant