Maïmouna : L'innocente

Partie 6

Je l'ai regardé de travers et je tracé ma route mais quand je voulue m'éloigner de lui Il m'a retenu par le bras.

-Abdel : On peut parler ?

Je l'ai regardé et je regarde ma main qu'il tenait pour lui faire comprendre de me lâché, il me l'a tout de suite lâché.

Il m'a ouvert la porte de son véhicule, c'est vrais que j'avais pas envie de lui parler mais je suis rentrer et lui aussi.

-Abdel : Je constate que te au courant de tout!

Il cache bien son jeu celui-là.

-Moi : T'es sérieux là ?

-Abdel : Pourquoi ?

-Moi : "Je constate que te au courant de tout!", oui je suis au courant, maintenant je comprend bien pourquoi te venu faire ton innocent chez moi hier.

-Abdel : Qu'est-ce que t'ésperer Maï que je dis "Oh non je veux pas de ce mariage parce que cette fille est insupportable et si je l'épouse ça serait mon pire cauchemar".

-Moi : Je suis contente d'entendre à quel point je suis insupportable.

-Abdel : Mes parents qui n'arrêtent pas de me dire que te parfaite mais niveau personnalité vous êtes le jour et la nuit.

-Moi : Tu me traite d'imparfait là?

-Abdel : Ah parce que tu te trouve parfaite ?

-Moi : En faite ce que tu aimes c'est te disputé avec moi!

-Abdel : Ah oui ta complètement raison...

-Moi : En tout cas c'est de ta faute!

-Abdel : C'est ça, oui évidemment c'est de ma faute comme d'habitude.

-Moi : Tu aurais pu dire à ton père "non" c'est pas compliqué.

-Abdel : Oui Ça aussi ça va sûrement être encore de ma faute alors que pour toi on en parle pas.

-Moi : Tu sais quoi ? C'est mieux que je m'en aille parce qu'on peut pas discuter avec toi, Connard!

Je voulais m'enfuir mais trop tard il m'a tiré contre lui en mettant mes mains derrière mon dos.

Voilà le vrai Abdel est de retour.

-Abdel : Qu'est ce que t'as dit là?

Je gémis de douleur.

-Abdel : Plus jamais tu me traite de ce que tu viens de dire, Tu as compris ?

Je ne lui ai pas répondu, je lai regarder simplement parce que son regarde été complètement changer.

-Abdel : TU M'AS COMPRIS!

Je hoche la tête pour dire oui, il m'a subitement lâcher et il a passé ses mains dans ses cheveux en ferment les yeux quelque secondes comme s'il venait de commettre une erreur.

-Abdel : Sors.

Je suis sortie tout en m'assurant de bien claquer la porte de sa voiture et je suis montée chez Ami, c'était Tata María (la mère de Ami) qui m'a ouvert.

-Tata : Toi on te voit plus alors qu'on est dans le même cité.

-Moi : Pardon Tata mais j'étais très pris.

-Tata : Comment ça t'étais très pris tu peux pas monter deux escaliers seulement?

En faite nous on est au 2ème étages alors qu'eux au 4ème.

-Moi : Maintenant je suis là non?

-Tata : Et alors ? Moi je veux que tu vient tout les jours comme avant.