Maïmouna : L'innocente

Partie 50

- Fodié : Ehh les mecs on dit quoi ?

- Moussa : Salut on est là.

Moussa me regarde en mode Abdel fais pas de dinguerie, Wallah ce Lamine il me cherche une seule fois c'est mort pour lui.

- Fodié : Abdel bien ?

- Moi : Ouais tout va bien..

- Moussa : Lamine te là.

- Lamine : Bien au calme et vous ?

- Moussa : Ouais ça va, hein Abdel ?

- Moi : Quoi ?

- Moussa : Bah tout va bien non..

Je le regarde et ne dis rien.

- Moi : Humm.

- Fodié : Wesh même pas de bonjour entre vous c'est abusé les mecs.

- Moussa : La vie j'aime pas quand ya des vents.

- Lamine : Moi je veux éviter des histoires.

- Moussa : T'auras pas d'histoires c'est cool mec.

- Fodié : Et toi Abdel.

J'étais même pas entrain de suivre en vrai la conversation j'étais sur mon tél.

- Moi : Hein quoi ?

- Fodié : C'est cool avec Lamine ?

Moussa il me jette un autre regard, wesh lui il croit trop il me fais flipper avec ses vieux yeux.

- Moi : Moi jai rien a dire..

- Moussa : Voilà bah c'est bien, c'est tranquille Lamine.

- Lamine : Oue.

- Fodié : Vas-y c'est carré, sinon Abdel c'est comment Maïmouna elle va bien ? Elle on la voit plus trop.

- Moi : Tranquille ouais elle va bien.

- Fodié : OK, bah dis lui je passe très bientôt, parce que sinon c'est sur on va plus jamais se voir.

- Moussa : Mdrr la vie.

- Fodié : Moussa tu connais, elle a plus notre time.

- Moussa : À mort.

- Moi : Mdrr vous êtes trop.

- Fodié : Ouais mais ta le droit hein c'est ta femme on comprend que tu veux plus forcer de nous voir.

- Moussa : C'est grave.

- Fodié : Très très grave.

- Moi : Comme vous le dis.

- Fodié : Ouais.... vas y on s'attrape les gars à bientôt inchallah.

- Moussa & Moi : Ouais.

Et on sors Moussa dit direct.

- Moussa : Moi je te dis lâche l'affaire.

- Moi : ..

- Moussa : Tu va pas me croire mais il a changé je crois .

- Moi : C'est toi qui le dis ouais

- Moussa : Pourquoi c'est si dure de croire ?

- Moi : Les gens comme lui ne change pas.

- Moussa : Qu'est ce qui te fait dire ça ?

- Moi : Ma consciente

- Moussa : Qui aurait cru que toi tu pouvais changer ?

- Moi : On parle pas de moi là.