Salem Aleykoum
Dans la peau d'Amir
1 semaine est passée personne a de nouvelle de Yasmine, je deviens fou cette femme j'en suis vraiment amoureux. J'arrive pas à l'oublier, c'est une obsession, j'ai l'impression de l'a voir partout.
On est tous tarpin inquiet, c'est pas elle, c'est pas possible on l'a kidnappée elle aurait jamais pu faire ça.
Je descend au salon et salue mes parents
Moi - Salem Aleykoum...
Yemma - Aleykoum Salem...
Baba - Des nouvelles ?
Moi - Toujours pas ...
Baba - Faut aller voir la police, ça fait beaucoup trop longtemps là...
Moi - Je m'en chargerais en fin de journée... Je vais passer a la baraque d'abord, il paraît que Jasmine ça va pas du tout.
Yemma - Ma hbiba... Essaie de l'a ramener à la maison.
Moi - On verra.
Je pars à la cuisine dépité, plus rien ne va, mes parents ne dorment plus, je dors pas plus qu'eux et Jasmine inquiète beaucoup. C'est vraiment la merde.
Je me sers un café et m'assois en pensant. Mon téléphone m'a coupé dans mes pensées. Je le prend le nom d'Imran s'affiche, je décroche
Moi - Allo ?
Imran - Ouais Allo Salem Aleykoum ca va ?
Moi - Comme d'hab et toi ?
Imran - Pas mieux..
Un blanc s'est installé.
Imran - Elle me manque Amir.
Moi - Imran elle est pas morte, on va l'a retrouver je te jure.
Imran - Dans combien de temps ? Je l'aime de dingue, c'est mon sang cette meuf putain ça me rend dingue.
Moi - Tu penses à moi ? J'ai fais le gars qui s'en foutait pour l'a laisser vivre dans le "bonheur" et maintenant elle a disparue. J'aurai dû l'en empêcher.
Imran - Personne aurait rien pu faire c'est le destin Khoya.
Moi - Destin ou pas je tiendrai pas longtemps sans elle.
Imran - Courage frérot, bon je te laisse je vais à la Mosquée. Tiens moi au jus.
Moi - Vas y à t'haleur, t'inquiète.
Je raccroche et pose ce téléphone. Chui à la limite de pleurer, ça m'aie jamais arriver cousin jamais !
Mais c'est pas n'importe qui...
Je finis mon café et monte vite en haut, j'enfile un haut et un short puis sort direction l'appartement.
Je prend ma Audi et je roule. Le vent il me soufflait dessus, j'étais bien, je roulais à fond. J'avais ce besoin d'adrénaline, je continuais d'accélérer quand je vois une voiture de police derrière moi, girophare enclenché. Eh merde !
Je m'arrête sur le bas côté et prépare les papiers de ma voiture.
Ils se garent derrière moi et sorte de leur véhicule. Je descend ma vitre, il se baisse vers moi, avec ma gueule d'arabe c'est mal barré pour moi.
Policier 1: Bonjour Monsieur, vous savez pourquoi on vous interpelle ?
Moi: Bonjour, non pour quelles raisons ?
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Yasmine - Une Somalienne, un égyptien ??
AcciónCette histoire est fictive mais comporte des faits réels. «C'est l'exception qui confirme la règle. Toute personne dans son cas aurait attendu que la mort vienne frapper a leur porte mais "Elle" n'était pas comme sa. Ayant perdu ses repères lors de...