Trois

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~ C'est pas nécéssaire mais ça sert ~

~ C'est pas nécéssaire mais ça sert ~

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Aujourd'hui j'avais rien à faire, alors avec Djibril on a décidé d'aller dans notre endroit. On allait souvent là quand on était recherché, quand y'avait des problèmes à la cité bref c'était notre endroit.

J'ai arrêté ma voiture en dessous d'un pont puis j'ai baissé mon siège. Djibril a sorti notre teh puis on a commencé à fumer, à planer. On était bien là.

Djibril : T'a déjà pensée à arrêter tout ça ?

J'ai pas répondu jusqu'a ce qu'il détail plus sa question.

Djibril : Genre arrêter la bibi, arrêter de tuer, arrêter de fumer et j'sais pas s'orienter vers quelques choses d'autre.

Moi : Je n'y ai jamais pensée mais je sais que ça va venir, je vais tout arrêter un jour, je vais me concentrer sur la religion.

Djibril : Et avoir une femme ça te dit rien ?

Je l'ai regardée puis j'ai tirer une taffe de mon joint. Il a rigolé puis a baisser son siège pour fermer les yeux. J'ai craché la fumé qui avait dans ma bouche et j'ai soupiré.

Moi : Ça me dit rien, si j'arrête tout ça je me concentre sur Dieu, c'est tout.

Il a pas répondu, je savais que si il me posait ses questions c'est que lui même il se les posait, je sais que Djiby va me laisser, fin il va avoir une femme, il va arrêter la bibi, là violence et il le mérite. C'est un gars bien et si il le faut, je l'aiderai à s'en sortir.

Moi : On bouge ?

Il a simplement redresser son siège sans répondre et j'ai fais de même. J'ai conduis en silence jusqu'à la cité de Djiby puis je suis rentrée chez moi, j'étais en train de marcher jusqu'à mon bâtiment et quand j'ai ouvert la porte de mon hall j'me suis senti propulser dedans.

J'me suis retournée vivement quand j'ai vue un gars que j'avais frapper il y a pas longtemps avec deux de ses gars.

Moi : - pouffe - T'es venu me sauter ? C'est ça ?

Il a pas répondu et m'a balayer, ils m'ont ensuite tirée jusqu'à une cave puis ils m'ont donnée des coups de pieds, j'essayais de me lever mais à chaque fois j'me mangeais des coups de poing. Honnêtement, je souffrais, je préfères être franc avec vous.

Le gars : C'est bon les gars, laissez le moi.

Les deux autres gars sont partis et je me retrouvais seul avec l'autre la. J'étais au sol en me tenant le ventre avec une main pendant que mon nez saignait, que ma bouche était très irrité et que mon arcade gonflait j'ai décidé de me lever.

Je lui ai mis un coup de poing, un coup de pied mais j'étais trop faible.

Moi : Pourquoi t'a ramenée t'es groupies avec toi? En 1 contre 1 tu sais très bien que j'taurai niquer.

Il a pas répondu et m'a mis un chasser dans le ventre, j'ai craché du sang, je lui ai mis un coup de coude dans le nez, il a saigné mais m'a balayée et m'a enchaînement de coup de pied. wAllah on verra.

Le gars : Que ça te serve de leçon.

Moi : C'est pas fini, wAllah t'es un homme mort le marseillais.

Le marseillais c'était un gars de notre cité, on l'appelait comme ça car il venait de Marseille. On a toujours été en guerre, j'ai toujours gagné mes 1 contre 1 avec lui mais aujourd'hui ça s'est passé autrement.

Je me suis levée avec difficulté puis je suis rentrée chez moi, comme un grand j'me suis soignée tout seul, c'était pas le plus beau soin mais à force je m'étais améliorer.

_ Message

+336.. : J'ai appris la nouvelle, tu veux que je le tue?

Moi : Cki

+336.. : Maksey.

Moi : Non, jv m'en charger.

+336.. : Tu veux que je t'envoie des soins ?

Moi : J'me débrouille.

Il a pas répondu et j'me suis regardée dans la glace en soupirant.

_ 20:03

D'un coup j'avais faim, j'me suis donc levée pour allez au franprix à côté de chez moi, j'avais faim de bonbon, de chips et tout. Je tournais dans les rayons quand je suis tomber nez à nez avec ma mère.

Elle m'a fixé sans pouvoir bouger, ses yeux ont commencer à être mouillé puis elle est venu rapidement vers moi en touchant doucement mes blessures.

Je voulais lui dire " Yemma c'est rien, j'me suis soigné t'inquiète " Je voulais juste la rassuré.

Mais j'avais fais un choix, j'avais voulu la fuir alors il fallait que j'assume, j'ai enlevée ses mains de mon visage, je l'ai regardé droit dans les yeux.

Moi : Me touche pas.

Puis j'me suis tailler sans la calculer, sans avoir de la peine pour elle. Malgré que je l'ai abandonnée ma mère m'en a jamais voulu, quand elle me voit elle cherche toujours à me parler, elle savoir comment je vais mais je l'évite. Elle a plus à savoir tout ça.

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Djibril

𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant