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~ J'ai mal à la tête, y'a des jours comme ça j'suis pas dans mon assiette. ~

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J'étais devant chez elle, devant sa porte depuis trois heures. Il était dix huit heure et j'attendais qu'elle rentre, hier je ne l'avais pas vue de la journée, même pas aperçut et ça ne m'a pas plus, alors aujourd'hui me voici devant chez elle.

En l'attendant j'étais au téléphone avec Djibril qui lui, me faisait la moral.

_ Conversation Téléphonique

Djibril : Tu me faisais la morale par rapport à ma mère et toi tu fais la même avec elle.

Moi : Ouais mais la différence c'est que moi, si il crame il va la tuer mais le soir je vais bien dormir alors que toi, si il crame il va tuer ta mère et je penses pas que dans ton crâne ce qui va se passer est très beau.

Il a fait une minute de silence et m'a tshiper, il aime pas quand j'arrive à fermer sa big bouche.

Djibril : En tout cas, je sais que tu sais ce que tu fais, alors j'te laisse faire t'es bails mais continue de l'a garder secrète.

Moi : T'inquiète pas pour ca.

On a par la suite raccroché et l'ascenseur s'est ouvert, Dayanaa m'a regardée avec ses yeux grand ouvert puis m'a sourit. Elle a ouvert la porte et m'a dit d'entrée. J'me suis pas fais prier, je suis directement rentrée chez elle et j'me suis installée sur le canapé.

Dayanaa : Ça faisait combien de temps que tu m'attendais?

Trois putain d'heure.

Moi : Dix - quinze minutes pas plus.

Elle m'a juste jeté un sourire puis est parti vers une autre pièce que le salon.

Dayanaa : Tu veux manger quoi ?

Moi : Un truc de mangeable, je suis pas compliqué.

En plus je suis nourris, c'est le Paradis ici.

Elle est allez dans la cuisine et à commencé à faire des trucs à grail, comme j'me sentais seul dans son salon je suis allez la rejoindre dans la cuisine. Je me suis assis en posant mes bras sur la table de la cuisine, elle était de profil à moi en train de préparer sa béchamel. Elle faisait des lasagnes.

J'ai mis ma tête dans mes bras tout en continuant à la regarder et j'me suis imaginer une vie wAllah, comme un gosse de six ans.

𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant