48.

12.2K 1K 158
                                    

- Soit t'es le prédateur ou t'es la proie facile. -

_______________

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

_______________

Je me forçais à allez mieux de jour en jour, ma famille était vraiment ma force. Si j'arrivais à me relever c'était grâce à eux.

Dayanaa était au lit et je lui ai dis que ça ne servait à rien qu'elle se lève plus tôt aujourd'hui car c'est moi qui allait les emmenés en cours. Au alentours de 8h on est s'est dirigée vers le collège, comme d'habitude dans la voiture il y avait une vrai ambiance puis je les ai déposé.

Moi : Eh, si l'autre il vous embête encore j'vous autorise à le frapper. Et si y'a un problème vous lui dite qu'il appelle ses parents on réglera ça.

Ils ont hoché la tête et Aya m'a fait un bisou sur la joue puis Mehdi m'a checker. J'ai après rouler jusqu'à chez moi et quand je suis rentrée Dayanaa était réveiller.

Je suis allez dans la cuisine lui faire un smack et j'me suis assis pendant qu'elle préparait son petit déjeuner.

Dayanaa : Les petits ils étaient content ?

Moi : Ouais.. C'était la bonne ambiance dans la voiture comme d'habitude. Heureusement que vous êtes là wAllah sinon j'me serai pas relever.

Elle m'a sourit et m'a fait un bisou.

Moi : Cet aprem on va chez ma
mère ?

Dayanaa : - hoche la tête - Bien sur.

_ 13:06.

Yemma : - ouvre la porte - Enfiiiiin. Masha'Allah ma fille, tu es toute belle.

Elle m'a fait rentrée puis a tenu ses joues pour lui faire la bise, ma mère était heureuse de enfin la rencontrée et moi j'étais content sur enfin la première femme de ma vie rencontre la deuxième.

On s'est assis dans le salon autour de la table puis on a commencé à parler, fin c'est plus elles qui parlaient.

Yemma : Franchement je ne pensais pas que tu savais tout ça sur Abdellah, et malgré ça tu as accepté d'être à ses côtés.

Dayanaa : Je sais qu'il change, au début ça me faisait bizarre et j'avais même peur de lui par moment mais Abdellah il a changé et il fait tout pour me protéger alors je n'ai plus à m'inquiéter.

Quand j'vous dis que cette femme je l'aime, c'est pas des lol.

Ma mère elle lui a fait un grand sourire et m'a lancé un regard. Elle s'est levé pour allez dans la cuisine, je l'ai donc suivi pour l'aider à débarrasser et j'ai fais un clin d'œil à Dayanaa.

Yemma : - me frappe - wAllah si tu fais le con tu verras.

Moi : Wesh j'ai rien fais tu me frappe déjà.

Yemma : Parce que ça c'est un avant goût! Si elle et toi c'est fini, même si elle a tord c'est toi que je frapperai t'a compris ?

J'ai hoché la tête et elle a sorti plusieurs gâteau pour le désert et quand j'allais partir dans le salon pour tenir compagnie à Dayanaa elle m'a retenu.

Yemma : Qu'est-ce qu'il y a?

Moi : - fronce les sourcils - De ?

Elle s'est adossé sur le lavabo et a croisé les bras en me regardant, j'ai soupiré. Je lui ai expliqué que Djibril nous avait quittée, malheureusement.

Elle a soupiré et est venu vers moi me caresser la joue.

Yemma : Je sais que c'est dur, à mon âge j'ai déjà perdu la moitié des gens qui m'ont entourée.. Il faut que tu te relève, tu as des enfants et une femme et même si c'est dur il faut que tu sois là, tu es l'homme de la maison okay ?

J'ai hoché la tête et elle m'a fait un
bisou sur le front.

Yemma : La vie est faite comme ça, y'en a qui parte et y'en a qui reste, c'est comme ça.

Je lui ai fais un câlin puis on est allez dans le salon, on est restée jusque-là 15h puis on est rentrée.

On s'est posé sur le lit et j'ai soupiré. Je savais même pas ce que je ressentais si j'étais heureux, triste ou autre.. Mais à ce moment présent j'savais qu'il fallait que je reste un homme et que je sois présent pour ma famille, comme ma mère l'a dis.

Dayanaa : - se couchant sur moi - T'es pensif.

Moi : - met mes bras autour de sa taille - Même pas, ça va toi ?

Dayanaa : - rit légèrement - Très bien et toi monsieur ?

Je l'ai regardée et je me suis mordu la lèvre.

Moi : Très bien maintenant.

𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant