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- T'as mal à la tête depuis que je suis plus là t'en as des nausées. -

______________________Dans la peau de Dayanaa

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Dans la peau de Dayanaa.
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_ Un mois plus tard.

Ça faisait deux jours que je vomissais, franchement être une femme c'est dur. C'était le syndrome de mes règles ça, dès que je les avais ou des que j'étais sur le point de les avoir je vomissais, c'était inévitable.

J'étais en arrêt maladie, c'est vrai tellement que j'avais mal je ne pouvais plus bouger, enfin aujourd'hui ça allait un peu mieux.

Heureusement que Abdellah bossait avec moi maintenant, j'veux dire, quand je ne suis pas là c'est lui qui gère la boutique et vice versa.

Parlons de nous, un mois après, ben nous allons bien, nous sommes plus heureux même. Mehdi a un peu changer, il a prit le caractère de Abdellah en un peu plus gentil mais par exemple il s'énerve vite, se bat souvent, il a le sang chaud Mehdi et gare à ceux qui s'approche trop de Aya.

_ TocTocToc.

Je suis allez ouvrir la porte et j'ai vue ma copine Ayna, j'ai souris et je lui ai fais un câlin. On s'est ensuite dirigé vers le salon et on s'est posé avec des bonbons et tout, quand on se voit on est comme des enfants, on se raconte nos vie comme si on avait 14 ans tout en étant excité.

Ayna : - sourit - Bon, je suis venu ici jusqu'à toi pour t'annoncer quelques choses.

Moi : Allez la.

Ayna : - sourit - Je suis enceinte.

J'ai pas pu m'en empêcher et j'ai poussé un cri plus que aigu, j'étais tellement heureuse pour elle. Ayna c'est la femme qui a beaucoup souffert en amour et aujourd'hui elle est enceinte quoi je sais pas si vous vous en rendez compte.

Moi : Je suis trop heureuse pour toi, j'te jure. Tu le mérite vraiment d'être heureuse avec ton homme et bientôt ton mini toi par contre j'suis pas contente pour une chose.

Elle m'a regardée en fronçant les sourcils et j'ai croisé les bras en faisant une légère moue.

Moi : J'ai même pas encore rencontré ton monsieur! Wesh t'abuse Ayna, depuis le temps ! Ah ouais la.

Ayna : - rit - Mais chut parce que même moi, j'ai pas encore rencontré le fameux Abdellah.

Moi : - sourit - Je proposes que, pour fêter cette annonce exceptionnel, on aille au restaurant ce soir!

Ayna : Moi je suis partante mais qui va garder t'es petits ?

Moi : Oh, leurs grand mère va les cherche ce soir, ils restent le week-end chez elle.

Ayna : - cri et saute sur moi - Ohhhh, j'suis tellement heureuse. Bon ben on se dit ce soir 20h?

Moi : Okay, rendez-vous dans notre restaurant favoris alors ?

Elle a hoché la tête et je l'ai accompagné à la porte et je suis allez me doucher en attendant 18h, donc l'arrivé de Abdellah.

_ 19:30.

Abdellah : - met sa main sur ma cuisse et accélère - W'Allah ton restaurant il est à deux mètres de la maison, j'ai envie de te niquer.

Moi : - rit - Toujours tu te plains sale trimard, c'est pour la bonne cause.

Abdellah : Guelek bonne cause, j'men fou moi qu'elle soit enceinte moi.

Moi : - soupire - C'est ça qu'on te reproche, t'es trop franc. Bref, même si tu t'en fou tu fera bonne figure okay ?

Il a soupiré et s'est garé, j'vous passe les longues heures qu'on a passé au restaurant.

_ 22:03.

Moi : - Me couche sur le lit - Bah alors, c'était pas si mal au final.

Abdellah : Ouais, d'ailleurs je l'aime bien Mohamed. C'est un bon gars.

Je l'ai regardé en souriant pendant qu'il se couchait prêt de moi.

Abdellah : Tu veux que j'te dise un secret ?

Moi : Un de plus, ça fera pas de mal.

Abdellah : Il travaillait pour moi pendant deux mois, il vendait de la drogue.

Moi : - ouvre grand les yeux - Mais pourquoi vous avez fait comme si vous vous connaissiez pas ?

Abdellah : Règle numéro 13 de la cité bébé, quand il n'est plus dans le business il est plus dans notre monde.

Moi : Euh? J'te jure vos règle de rue, cité ou j'sais pas quoi je comprend rien.

Moi : Ça veut dire que comme il est plus dans ce business, c'est comme si on ne l'a jamais connu, dans la rue si par exemple je le croise je peux pas lui parler, ça devient un inconnu pour moi et moi pour lui, c'est la règle 13 mais c'est l'une des plus importante.

On a encore parler de la rue qui fait partie de son passé maintenant puis on s'est endormi au fur et à mesure, ahlala cet homme.

𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant