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À la vie, à la muerta.

À la vie, à la muerta

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Nous étions tous autour de cette table chez Djibril, on était tous réuni, tous dans la bonne humeur. Nous étions heureux d'être ensemble et nous avions tous quelques choses à dire.

Dayanaa : Je proposes que chacun dise quelques choses pour immortaliser ce moment, pour une fois qu'on est tous là.

On a tous accepter et Ayna à directement voulu se lancer, alors elle s'est levé et nous a tous regarder un par un en souriant.

Ayna : J'aimerai d'abord parler de nous, - sourit - Notre amitié, au début je connaissais que Dayanaa, elle me parlait souvent de Abdellah, pas tout le temps en bien. - ris -

J'ai souris en regardant Dayanaa puis elle m'a fait un clin d'œil. J'ai reporté mes yeux sur Ayna.

Ayna : Je l'ai rencontré, puis j'ai rencontré Djibril, Ibra et vos compagnons. J'ai tous de suite accroché avec vous, vous avez tous été là pour moi sans exception alors je vous remercie. Je vais poursuivre sur ma vie, comme vous l'avez vue je suis venu accompagné - regarde son copain - sachez que tout va pour le mieux dans ma vie est c'est aussi grâce à vous.. Il y a eu beaucoup de bas dans ma vie, notamment avec Mohamed qui est mort maintenant mais maintenant je vis dans le bonheur, alors merci.

On a sourit et elle s'est assis laissant place à Ibra. Il s'est levé à son tour et a commencé  à rigoler ce qui nous a fais rire.

Ibrahim : wAllah si y'a 5 ans on m'aurait dis que je serai assis autour d'une table avec Abdellah et Djibril j'aurai sûrement rigoler. - sourit - Au final Dieu fais bien les choses, j'ai des vrais amis, une vrai famille wAllah j'suis bien entouré, ma femme qui est enceinte tous ça, j'suis l'homme le plus heureux je penses. Ma vie aussi n'a pas été rose, j'ai un peu le même passé que Abdellah, en moins pire mais pratiquement le même, j'ai su me relever, ça a pas été dur, l'argent facile quand on y prend goût c'est dur d'arrêter.

J'ai secoué la tête pour montrer que j'étais d'accord avec lui, chaque homme autour de la table a connu ce qu'était l'argent facile alors on comprend tous ce qu'il dit.

Ibrahim : Mais j'y suis arrivé, grâce à vous. Alors merci.

Il s'est assis et Djibril s'est levé, on était tous pressé de parler, c'était des choses qu'on ne se disait pas souvent.

Djibril : Alors moi, j'ai beaucoup de chose à dire mais je vais essaye d'abréger. - sourit - Moi aussi j'ai eu un lourd passé, comme tout le monde ici en fait, j'étais même dans le royaume des morts pendant un moment, pendant ce moment là je me sentais seul sans mon frère.

On s'est regardé puis on s'est sourit.

Djibril : J'ai failli m'suicider, comme un faible mais Pauline m'a aider a ce moment là. Elle m'a soutenu autant que vous et c'est pour ça que j'vous en remercie. Au début j'étais dans mon coin avec Abdellah, on était que deux et j'avais du mal à parler aux autres mais au final je suis très content d'être entourée de personne comme vous, changez pas les kheys.

On a sourit puis on a regardé la meuf d'Ibra se lever, Sarah.

Sarah : Bah alors moi j'ai pas grand chose à dire - sourit - Je suis là que depuis 5 mois mais le peu de temps que j'ai passé avec vous je ne le regrette pas, Ibra m'a raconter tout vos petits secret et je suis contente de partager ça avec vous.. J'avoue qu'au début j'ai eu peur. - rit - Mais quand on comprend pourquoi vous avez fait tous ça ça passe vite. Merci de m'avoir accueilli dans vos vies wAllah.

On a sourit, j'ai regardé Ibra qui regarder sa femme avec amour, c'était bizarre de le voir comme ça. Le mec de Ayna, Jeremy a enfin prit la parole alors a commencé à l'écouter avec attention.

Jeremy : Bah moi c'est comme Sarah un peu, je connaissais Abdellah d'avant, je travaillais pour lui mais sinon je connaissais personne. C'est la première fois aujourd'hui que je vous vois alors j'ai pas grand chose à dire mais vous avez l'air d'être soudés et d'avoir une forte amitié, alors j'suis content de faire partie de votre amitié.

Il s'est assis en faisait un bisou sur le front de Ayna et Dayanaa s'est levé. Elle s'exprimait très rarement alors j'allais boire ses paroles.

Dayanaa : D'abord je vais vous remercier tous car c'est grâce à vous tous que aujourd'hui j'ai cette vie, c'est grâce à Ayna que je n'ai pas pris peur de Abdellah et que aujourd'hui je suis marié avec lui. Merci à tous de m'avoir épaulé dans les moments dur, quand j'étais seul car Abdellah devait nous protéger, merci d'avoir protéger mon homme, mes enfants et merci d'être dans ma vie. C'est grâce à vous si aujourd'hui j'en suis là alors merci. - Elle a touche son ventre qui était presque rond et m'a regardé - Merci Abdellah pour les trois enfants et mes jumeaux qui vont bientôt sortir, merci à toi vraiment.

Je lui ai souris et quand elle s'est assise j'ai mis ma main sur son ventre, wAllah je l'aime. Pauline s'est levé et a sourit.

Pauline : Avant de commencer j'ai une nouvelle à vous annoncer, vous savez tous ici présent que Djibril était stérile, eh bien par la grâce de Dieu je suis tombé enceinte de lui, on a tous les deux réaliser un rêve d'avoir un enfant et grâce à Dieu on a pu, j'aimerai aussi vous remercier tous, d'avoir été là pour Djibril et moi, je suis pas là depuis le début mais je suis là depuis un bon bout de temps aussi. Comme vous l'avez dis, pas beaucoup de chose on était rose mais on s'est souvent soutenu, alors je voudrai vous remercier pour cette amitié sincère.

Elle s'est assise pendant que tout le monde la félicitait pour sa grosses puis tous les yeux ce sont reportés sur moi. J'ai gratté ma barbe et je me suis levé.

Moi : Moi j'ai déjà beaucoup parler et vous avez déjà tous dis dans vos discours alors le mien va être rapide. En vrai je vous remercie tous d'avoir été là, j'ai pas toujours été le plus parfait, j'ai pas fais les meilleurs choses dans ma vie mais vous êtes tous resté ici. J'ai vécu des coups bas, le hebs, la mort de Djibril, de Yemma et vous avez tous été là et vous l'êtes encore d'ailleurs. Merci d'être vous mêmes, merci d'être là et merci de continuer à l'être car vous êtes devenu ma famille.

Les enfants sont arrivés à la fin de ma phrases puis se sont mit à table, on a tous commencé à manger en rigolant, parlant de tout et rien et moi j'ai juste souris.

Les amies sont devenue la famille, c'est grâce à la rue qu'aujourd'hui j'en suis là... Je vous l'avez dis au début, c'est rien, c'est la rue.

Fin.

𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant