Quatre

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~ T'inquiète avant de dire adieu j'ai des prières à dire à Dieu. ~

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_ Message

+336.. : Aubervilliers, pavillon 2, tu mets le feu à sa maison et au personne dedans.

J'ai soupiré et je me suis levé de mon lit. J'me suis habillée de noir et j'ai réveillé la pute à côté de moi.

Moi : Quand je reviens ma maison elle a intérêt à être propre sinon j'te bute.

Je suis parti après cette phrase puis je suis allez dans ma voiture pour me rendre à l'adresse indiqué.

_ Dans la maison.

J'avais piquée toute les personnes dans la maison, j'ai vue que la femme était enceinte.

Moi : - touchant le ventre de la femme - Désolé petit, je peux pas te sauver.

J'avais enlever ma cagoule et rajouter la bonne dose de somnifère pour que personne se réveille, je suis allez dans la chambre des petits pour commencer à mettre de l'essence mais je me suis surpris en train de les fixer.

Moi : Azy nique sa mère les règles.

J'ai pris la petite fille et le petit garçon et je les ai ramener dans le jardin des voisins, ils étaient couchée sur l'herbe. J'avais mis une petite dose de somnifère pour eux, ils devraient se réveiller dans une à deux heures.

J'ai continué de faire ce que j'avais à faire puis arrivée dehors quand j'allais faire tomber l'allumette sur l'essence j'ai entendu quelques crier.

... : Arrête sinon j'appelle les flics.

Grace a mon intelligence j'avais remis ma cagoule.

Moi : Appelle la police et la prochaine maison qui crame c'est la tienne.

Il m'a regardée puis m'a tendu son téléphone et est rentrée chez lui en courant. J'ai soupiré et j'ai enfin fais tomber les allumettes. Je suis allez dans ma voiture pour être plus à l'aise et quand la maison prenait feu entièrement je me suis tailler.

_ Au téléphone.

Moi : Elle devait être enceinte de 7 mois.

Djibril : Rahouaaais, et tu la laisser dedans.

Moi : Ouais j'men fou de toute façon le bébé il était pas encore née.

Djibril : T'abuse, - rit - bon mes clients arrivent, je te rappelle.

J'ai raccroché puis j'ai continué à rouler jusqu'à la cité.

J'avais même pas un peu de peine, de regret d'avoir brûler cette femme enceinte, ça me faisais ni chaud ni froid.

Ce qui a réussi à m'endurcir c'est les un an passée à la rue, c'était l'année la plus difficile de ma vie. Je venais de partir de chez mes parents, j'avais plus de repère. Il faisait froid, j'avais attrapé toutes les maladies du monde et c'était très facile pour mes ennemies de me repérer.

Je mangeais trois fois par semaines et j'bouffais que des chips.

Si aujourd'hui j'ai un toit c'est grâce à Maksey, des qu'il a su que j'étais dehors il m'a aider, ensuite il m'a mit en mission avec Djibril puis c'est devenu mon frère et Maksey le père que j'aurai voulu avoir.

J'étais au feu rouge quand Djibril est rentrée dans ma voiture, j'ai froncé les sourcils quand j'ai vue qu'il était en sang.

Djibril - cri - Roule ! Y'a les keufs wesh.

J'avais vue aussi la sirène se dirigée vers nous. J'ai cramée le feu et j'ai conduis assez rapidement histoire de les semer. Je prenais les petits route, tournait à la dernière minutes, après 30 minutes où j'ai essayais de semer les flics j'me suis garée sous le pont, notre endroit.

Personne ne connaissait ici, pour semer les poulets c'était hyper simple. On allait ici puis on attendait et ça marchait.

Moi : T'a fais quoi trou de balle ?

Djibril : Tu vois quand j'ai raccroché et que je t'ai dis que y'avait mes clients ?

Moi : Hm.

Djibril : Bah c'était des gars qui voulaient me sauter. Mais moi j'ai pas le temps aussi, du coup j'ai sorti une arme et j'ai tirée sur leurs boss puis les autres ils ont tous cavale wesh. Et bref, j'avais pas vue que y'avait un keuf derrière du coup j'ai commencé à courir puis se fils de pute il m'a courser et a appeler ses collègues, après quand je t'ai vue au feu beh j'suis direct venu.

Moi : Fait t'es projet proprement frère, et t'a mis où le corps ?

Djibril : Je les laisser où il est wesh je m'en bats les couilles.

J'ai pas répondu puis j'ai sorti un teh pour fumer tranquillement. Djibril c'était comme un petit frère, j'aimais pas le fait qu'il fasse ça mais j'le laissais.

Le jour où il va se faire attraper j'me sentirai très mal, je crois que c'est le seul jour où je vais ressentir de la tristesse.

Djibril : Eh gros ? Pourquoi tu souris jamais? Pourquoi tu rigoles jamais ?

Je l'ai fixé sans répondre, j'ai craché les fumer qui était dans ma bouche puis j'ai regarder par ma fenêtre.

Moi : Parce que la vie que j'ai n'est pas marrante, tuer des gens me fais pas rire et voir leurs sang me fais pas sourire. Alors j'vois pas pourquoi j'devrai être heureux.

𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant