𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾.

Onze

~ Parce que chez moi le coeur est froid depuis l'œsophage. ~

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Dans la peau de Dayanaa

Depuis hier, je ne bougeais pas de mon lit. J'avais juste réussi à allez me laver et à manger juste une barre de céréale mais je n'ai pas réussi à manger plus.. J'étais comme traumatisée en fait.. J'avais vue des gens mourir, du sang coulé sur tout le sol de la banque, des personnes supplier le gars en disant qu'ils avaient des enfants ou qu'elles étaient enceinte et donc de les épargnées mais il ne l'a pas fait.

Il m'a épargnée, moi. Je lui ai même pas inventer de mytho, je lui ai pas dis que j'étais enceinte, mariée ou je ne sais quel mensgone. Je lui ai juste demandé de ne pas me tuer.. Et il l'a pas fait.

Quand je l'ai vue rentrée dans la banque avec une arme j'étais plus que choquée, je l'ai directement reconnu, lui et son pote le renoi. Quand je l'avais vue à Lacoste à aucun moment j'aurai pensé que ça serai un mec comme ça.

Oui okay, il parait froid, méchant mais je pensais pas qu'il serai capable de tuer et en plus des femmes enceintes, il n'a pas de coeur.

Et pourquoi il m'a sauvé? On se connaît pas.. D'un côté je vous jure je remercie Dieu de m'avoir laisser en vie et d'un autre je me sens mal pour les enfants qui n'ont plus de parents, pour les enfants qui n'ont pas pu naître et je me dis que j'aurai voulu être à leurs place pour les laisser vivre.

Je ne vais jamais oublier ca, Dieu aide moi à m'en sortir. Aide moi à oublier ce passage de ma vie, rend moi plus forte.

_ 8h00

Je sortais de chez moi après trois jours à avoir été enfermée, oui ça faisait trois jours après le braquage que je n'avais pas vue le jour, la fraîcheur de dehors. Je suis monté dans ma voiture, j'ai tournée la clé et j'ai démarré.

Dayanaa : Orh, allez Dayanaa, t'es plus forte que ça.

Dis-je pour me rassurer, j'ai peur de le revoir, lui et son regard froid. J'ai rouler le plus doucement possible et arriver à destination je me suis dirigée vers le centre commercial mais à peine rentrée mon coeur loupa un battement, il était là et il me regardait d'un air très énervé, pourtant j'avais rien fais. Je n'avais pas appeler la police, parler de ca à personne.

J'ai fais demi tour pour retournée dans le parking, la peur commençait à monter en moi, je marchais de plus en plus vite et arriver devant ma voiture j'ai senti sa main sur mon bras puis il m'à retournée violemment.

J'ai crier de toute mes forces car j'avais peur puis il a mis sa main sur ma bouche.

Lui : Ferme ta gueule cousine sinon je vais vraiment te tuer tu verras !

J'ai mis mes mains sur les siennes pour pouvoir les enlever de ma bouche et il s'est laissé faire. Par un courage incroyable je l'ai regardé dans les yeux et lui me regardait de haut en bas.

Abdellah : - froidement - Tu va bien, pas trop traumatisé ?

J'ai essayé de voir si il voulait m'embêter, se moquer de moi mais non, il avait l'air d'être sérieux dans sa question alors j'ai juste plissé les yeux.

Moi : J'ai vue plus de cinq personnes mourir dans d'atroce circonstance et tu demandes si je suis pas traumatisée? Tu as gâché ma vie.

Lui : - soupire - Oh tu sais, des gens mourir tu vas en voir tout le temps et t'inquiète pas ma belle que ta vie n'est pas encore gâchée, j'ai même pas encore commencé.

J'ai froncé les sourcils sans savoir où il voulait en venir puis j'ai vue qu'il m'a tendu un truc, c'était mon porte feuille, j'ai du l'oublier dans sa voiture, je l'ai pris et je l'ai remercié.

Lui : De base je devais juste te rendre ça, j'sais pas pourquoi t'a couru mais bon.

.... : Abdellah, on se casse ? J'tai chercher partout.

J'ai regardée derrière lui et c'était son pote le renoi, il me regardait en souriant, lui avait l'air plus sympa que.. Abdellah? C'était donc son prénom.

Abdellah : Hassoul.. La prochaine fois que tu me vois, cours pas, cris pas parce que  ça va m'énerver et j'serai obligée de te frapper.

Puis il est parti avec son pote de l'autre cotée du mien, je suis donc retournée au travail et je me suis excusé au près de mon boss pour commencer mon travaille juste après.

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D A Y A N A  A

Bonne rentrée les filles. Ça s'est passé comment ?