~ Vous êtes juste une minorité qui fait beaucoup de bruit ~
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Je venais de sortir de chez moi, j'étais à présent dans la cité, assis sur ma chaise. Je fumais mon teh en regardant la fumée qui se mélangeait aux nuages.
Il était que 20:03 et j'avais déjà envie de rentrer chez moi, je devais visser jusqu'à cinq heure du matin. J'crois que je vais envoyer un de mes hommes me remplacer.
J'étais en train de compter mes sous quand une voiture, vitre teinté s'est arrêter devant moi. J'ai pas plus parler que ça et je suis monter dedans, Maksey se trouvait devant moi.
Maksey : J'voulais te parler ..
On se regardait droit dans les yeux sans pour autant parler. J'me suis enfoncée dans mon siège et j'ai jeté mon teh par la fenêtre.
Moi : Ouais.
Maksey : Depuis.. Un moment, j'peux pas te dire de date mais je trouves que depuis le cambriolage tu es moins efficace.
J'ai étais surpris par sa phrase mais je suis resté neutre. Règle numéro 12 de la cité, ne jamais montrer ses émotions.
Je le fixais car il pesait ses mots, il était comme gêner ou un peu effrayé de me dire ca. Ça me faisait mentalement rire, c'était le boss mais il avait peur de moi. Hassoul.
Moi : Déclare.
Maksey : Rien que la dernière fois comment tu as tuer l'espagnol dans la cave ça te ressemblait pas. T'a été trop gentil avec lui, t'a discuté avec lui alors qu'avant tu serai rentré sans parler t'aurai fais t'es affaires et tu serai parti.
Comment il sait ça lui?
Maksey : T'es plus trop à la cité, tu bibi rarement et j'te vois sortir de la
ville avec t'a merco, mais tu vas pas faire des missions.Moi : Bon, où tu veux en venir la ?
J'ai pas le temps pour lui, j'ai pas
le temps pour ces paroles qui passent par quatre chemin. Il a un truc a reproché il a cas le faire en une phrase.Capable de tuer des gens mais pas capable de me parler français.
Maksey : Okay, est-ce que tu revois ta mère ou est-ce que tu vois une meuf ?
J'ai soupiré, j'ai fais genre le mec saouler qui comprenait même pas le but de la question. J'ai vu qu'il se sentait con d'un coup.
Moi : J'espère tu rigole avec moi wAllah, parce que si tu m'a convoqué que pour ça j'crois je vais câbler dans ta voiture.
Abdellah comédien, qui dis oui?
Maksey : Non mais parce que t'es plus trop la, genre t'es devenu moins méchant et hier je t'ai vue te battre, t'étais mal au point. T'es sorti de la cité en sang, t'es revenu t'étais soigné.
Merci Dayanaa.
Moi : Déjà de un, j'espère pour toi tu m'espionne pas, de deux, grâce à Dieu j'ai des mains et je sais me soigner seul. Donc parce que tu vois que je suis soignée ça veut dire que je côtoie une femme ?
Il m'a regardé sans répondre, on se demande qui est le boss. Dans deux
mois je prend sa place sur, à part si j'suis mort avant....
J'suis sorti de la voiture de Maksey après qu'il s'est excusé, il m'a bien sucé la bite pour que j'écoute ses excuses. Je suis rentré chez moi après avoir checker le gars qui m'a remplacé puis dans mon hall j'ai vue Djibril.
Djibril : T'étais où ?
Moi : Convoquer tu connais.
Djibril : Maksey ?
Moi : - ouvre la porte de chez moi - Qui d'autre ?
Djibril : Raconte.
On s'est assis dans le salon, je lui ai tout expliqué. De quand j'étais chez Dayanaa à maintenant avec Maksey, il m'a regardé en soupirant.
Moi : Ouais j'sais mais wAllah m'en fou.
Djibril : J'ai rien dis encore. - rit -
Moi : Ton regard il parle pour toi.
Djibril : Fais gaffe Abdel. Si il sait ou il remarque quelques chose tu sais comment ça va se finir.
Moi : Oui, il va la tuer. Il va finir ce que j'ai pas pu faire.
Djibril : T'accepterai qu'il l'a tue ?
Moi : C'est pas mon dos.
Il m'a regardée en souriant, lui et moi on se sait. Je me mentais à moi même et il le savait.
Moi : Je penses être assez discret.
Djibril : Pas assez vue qu'il te vois partir d'ici.
Moi : Oui mais il s'est pas où je vais.
Djibril : Il va finir par te suivre.
Moi : Qu'il n'essaye pas, il osera pas.
On s'est regardée puis j'ai sorti un teh.
Moi : Dayanaa restera mon secret.
Personne ne saura que je la fréquente. Personne.
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𝖢'𝖾𝗌𝗍 𝗋𝗂𝖾𝗇, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝗅𝖺 𝗋𝗎𝖾.
RomanceOn connaît pas l'avenir, peut-être que même avec mon argent sale j'pourrai acheter ton coeur.